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Fiche révisions HLP Terminale

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Par   •  7 Décembre 2024  •  Fiche  •  838 Mots (4 Pages)  •  14 Vues

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Fiche des fiches – « Tenir l’infini dans la paume de la main » William Blake

Pour remplir cette fiche, vous parcourrez vos cahiers/classeurs (lettres et philosophie), les fiches déjà distribuées, les méthodes, le manuel, vos copies corrigées et vos travaux personnels sur les œuvres littéraires ou cinématographiques.

Vous écrirez dans ce tableau les titres d’œuvres (littéraires, philosophiques, picturales, etc.) qui vous semblent les plus marquantes, intéressantes et utiles pour l’examen, en précisant pour chacune d’elles la notion précise.

La recherche de soi

Les expressions de la sensibilité

Les métamorphoses du moi

Le monologue théâtral entre expression des sentiments et critique de la société : monologue d’Hernani de Victor Hugo

Le monologue théâtral pour entrer dans le flot de pensées du personnage : monologue de Hamlet de Shakespeare.

La poésie lyrique, reflet d’une sensibilité adolescente : « Roman », Cahiers de Douai, Rimbaud

« Vieille chanson du jeune temps », Contemplations, Victor Hugo

Le personnage romanesque au XIXe : une plongée dans la psyché : extrait de Pierre et Jean de Maupassant

L’autobiographie et l’écriture rétrospective / le pouvoir de la lecture : extrait de Les Mots de Jean-Paul Sartre

L’expression des sentiments au service d’une cause : le Dernier Jour d’un condamné de Victor Hugo

Huis-clos familial et solitude : Juste le fin du monde de Lagarce

L’artiste, un génie torturé : L’Œuvre de Zola

Faut-il préférer la raison aux sentiments ? Jane Austeen

Autres propositions :

La sensibilité exacerbée peut-elle devenir unesouffrance ? exemple de Baudelaire

Le poids de l’inconscient dans la vie intérieure de l’individu : l’écriture automatique des surréalistes

La Métamorphose dans la mythologie : Les Métamorphoses d’Ovide

Le Moi insaisissable :

  • extrait des Pensées de Pascal (impossibilité de connaître autrui profondément)
  •  extrait de L’insoutenable légèreté de l’être de Milan Kundera (la dissociation du moi et du corps.

L’identité, un concept flottant :

  • Extrait de Médée d’Anouilh (métamorphose intérieure et abandon de son humanité)
  • Extrait de « je ne sais pas combien d’âmes j’ai » de Pessoa (la multiplicité du Moi en perpétuelle métamorphose)

Identité de genre et transidentité

La représentation des fluctuations du moi à travers l’autoportrait : Frida Kahlo (moi souffrant et dépossédé de lui-même), Arman (un moi qui n’existe que par les objets)

Le pacte autobiographique, un pacte de sincérité (Les Confessions de Rousseau)

L’impossibilité de dire la vérité sur soi-même : le Mentir vrai d’Aragon

Rester étranger à soi-même : Tout comte fait de Simone de Beauvoir

La folie et la dissociation du moi : Le Horla de Maupassant (traduction de la folie du narrateur), L’Etrange Cas du Dr Jekyll et Mr Hyde (la dualité intérieure propre à l’humain)

S’inventer soi-même comme personnage : l’affaire Ajar, L’Adversaire de Carrère insipré de l’affaire Romand

L’Humanité en question

Histoire et violence

Les limites de l’humain

Une violence inévitable - Art : Performance de Marina Abramovic

La violence par soumission aux autorités : les expériences Milgram et Stanford

La littérature témoin de la violence extrême de l’histoire :

  • Une violence irréelle à travers le regard d’un personnage naïf, révélateur de l’horreur (extrait de Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline : l’absurdité de la guerre / extrait de Lignes de Failles de Nacy Hutson : la déréalisation de la guerre)

L’horreur génocidaire : extrait de Petit Pays de Gaël Faye (l’innommable et l’indicible)

De la violence à la déshumanisation : extrait du Choix de Sophie de William Styron (une double déshumanisation) / extrait de La Mort est mon métier de Robert Merle (un bourreau déshumanisé par son absence d’émotions)

Le concept de la « banalité du Mal » de Hannah Arendt

Les violences de l’Etat

  • Des violences symboliques : extrait de l’Etabli de Robert Linhart (un système social et économique impitoyable à travers le monde de l’usine)

  • « L’État et le monopole légitime de la violence » de Max Weber.

  • Restriction de la limite de la pensée : la novlangue dans 1984 de George Orwell

L’Homme qui cherche à pousser les limites de sa condition : extrait de la « Genèse », extrait des Métamorphoses d’Ovide, mythe de Tantale ou de Prométhée.

L’Homme démiurge défiant les lois de la nature :

La Genèse, le Golem, le monstre de Frankenstein, Pinocchio, les robots humanoïdes.

Notions d’Hybris et de Moira dans l’Antiquité

Les frontières entre l’Homme et la machine :

  • L’Homme conditionné par la machine ou les dérives des progrès scientifiques : Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes
  • Du transhumanisme au post-humanisme : quand l’Homme augmenté devient un concept effrayant : Alain Damasio, La Zone du dehors
  • Prolongements : le personnage du cyborg (exemple Robocop) à la fois fascinant et effrayant

Une frontière qui tend à disparaître : série Westword de Jonathan Nolan et Lisa Joy

  • Le dépassement de l’Homme par la machine : Isaac Asimov, Les Robots

Le paradoxe d’un progrès destructeur :

Paradoxe 1 : progrès qui amène l’être humain à détruire son environnement – il devient une machine à détruire et à tuer, risquant ainsi de se détruire lui-même (Alice Ferney, le Règne du vivant)

Paradoxe 2 : Plus le progrès technique et scientifique est important, plus l’Homme régresse (Barjavel, Ravage)

Paradoxe 3 : le progrès technique agent d’accélération, de superficialité et d’aliénation (au lieu de libérer l’Homme, le progrès le force à adopter un rythme non-naturel et aliénant) : (Robert merle, Malevil)

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