Le lavage de la vaisselle, un acte solidaire
Mémoire : Le lavage de la vaisselle, un acte solidaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar khalidmourja • 2 Avril 2020 • Mémoire • 458 Mots (2 Pages) • 465 Vues
Le lavage de la vaisselle, un acte solidaire
Je m’appelle Khalid et je suis une personne qui croit en solidarité, c’est pourquoi, à titre d’exemple, j’adore apporter mon concours à mes parents dans leurs travaux ménagers. Laver la vaisselle y compris. J’ai choisi cette photo puisqu’elle m’inspire à la fois, le sacrifice et la reconnaissance. Le sacrifice car je vois le plus souvent ma mère faire ce travail combien pénible. La reconnaissance car je dois, et nous devons tous, être reconnaissant aux femmes au foyer, particulièrement les mamans, pour les travaux fastidieux qu’elles accomplissent au quotidien. J’ai choisi de ne pas mettre en évidence le lave-vaisselle qui est juste à côté, à ma droite. Mais, j’ai choisi d’essayer cette besogne pour savoir combien est laborieuse. J’ai embellis l’horloge blanche qui est à sept heures et dix minutes et la fenêtre noire qui est au dernier plan et par laquelle on peut voir qu’il fait encore noir, c’est-à-dire avant que mes parents se lèvent. Cette photo n’est point une simple photo, c’est plutôt un appel à faire autant, une initiative fertile et fructueuse. On peut distinguer le petit sourire qui se dessine sur mon visage, un sourire de fierté.
J’ai mis en lumière, une nuance du blanc, assiettes blanches, horloge blanche, mur blanc, un azulejo en blanc, pourquoi? Le blanc, pour moi, est le symbole de la pureté, la fidélité, la complaisance et l’espoir, en outre c’est une couleur qui reflète la lumière et nous permet d’observer pour comprendre, comprendre pour apprendre et apprendre pour entreprendre. En me photographiant, j’ai insisté sur la nécessité de la vivacité et l’harmonie des couleurs. J’ai aussi soigneusement posé les ustensiles de cuisine à leurs places. L’organisation est la clé du succès, avait dit l’amiral américain William H. McRaven. Je me suis retrouvé dans une posture incommodée, là, je pensai à ma mère, quand je la vois dans la même posture. Quel inconfort! Un jour mon père m’avait dit : « On ne se rend pas compte de la valeur de la personne qu’après l’avoir perdue!».
Je conclus avec confidence et non avec outrecuidance mon propos avec deux belles citations, l’une dite par mon frère et l’autre par ma mère. Mon frère m’avait dit un jour, en me voyant tout faire seul, ce petit ange dit : « Mon frère tout seul tu vas vite, mais à deux on va loin ». Ma mère dit ce jour-là même : « Tout commence par une initiative et une conviction, les deux forment un privilège. Ceci est l’accumule des initiatives dans la vie. Et tout débute par le premier pas. À tout un chacun de nous d’être solidaire, car la solidarité nourrit les racines, desquelles se tissent la fraternité ».
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