La victimomamia
Cours : La victimomamia. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Konitro57 • 11 Mars 2013 • Cours • 396 Mots (2 Pages) • 472 Vues
La victimomamia
Dans notre société, il existe différentes types de victimes, toutes souffre d’un mal. Il y a une gestion médiatique de cette douleur morale, des associations de victimes en tout genre, des prises en charge par cellules de soutien psychologiques, etc… C’est la « victimomania ».
Certaines personnes sont atteintes de douleurs physiques ou morales, ces douleurs peuvent être supportables comme elles peuvent être mortelles. A la télévision, comme à la radio ou dans les journaux, des reportages parlent de ces victimes, pour informer du mal qui peut exister en chacun de nous. Ceci a des impacts négatifs sur le bien-être physique et psychologique des personnes qui subissent cela, entraînant des conséquences graves sur la santé, la sécurité et l’économie des communautés, faisant de cette réalité un problème de santé publique important.
Tout est expliquer, pour nous montrer que des gens en apparence normal, sont rongés par quelque chose qui change leur vie. L'information transmise à la population constitue un facteur clé dans l'identification des types de douleurs. L'information aide les victimes à se reconnaître et elle suscite la mobilisation des personnes témoins de cela.
Des prises en charges de cellules psychologiques et des associations existent pour ces victimes ou d’autres personnes car il arrive que l'on éprouve souvent un désir profond et sincère de changer, de travailler sur ses comportements afin de vivre plus librement, plus authentiquement. Mais nos résistances inconscientes sont parfois tenaces, notamment celles qui nous poussent à nous sentir éternellement victimes, des autres, des évènements, de la vie... Un statut rassurant, déculpabilisant mais qui, s'il offre des bénéfices secondaires, comporte néanmoins de nombreux pièges et freine considérablement l'épanouissement. Il est important d’en parler pour se sentir mieux.
Je pense que ces victimes sont en parties dans leur souffrance à cause d’elles mêmes, un nouveau comportement ou un nouveau mode de vie doit être mis en place. Le fait d’être trop gentil, trop influençable, trop faible, etc … laisse trop d’ouvertures aux gens pour en profiter. Il y aussi ceux qui sont victimes de leur apparence : un physique ingrat, un style vestimentaire horrible, une hygiène de vie négligée, pour qui l’expression « l’habit ne fait pas le moine » prend tout son sens. Alors ces victimes sont victimes d’elles mêmes, de leur façon d’être, d’agir, de se laisser faire.
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