Social Charts As A System Of Regulation Of The Economic Activities
Compte Rendu : Social Charts As A System Of Regulation Of The Economic Activities. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar vicbly • 16 Juin 2015 • 2 105 Mots (9 Pages) • 1 143 Vues
Fiche de lecture 2
Social charts as a system of regulation of the economic activities
Introduction
Les auteurs de ce corpus Mme Palmero et Mr Robert Demontrond sont des professionnels de l’enseignement spécialisés en marketing et en ressources humaines. Ce corpus traite des « chartes sociales comme systèmes de régulation de l’acticité économique » dans les entreprises. La première partie du corpus nous oriente sur les principes de citoyenneté et des chartes sociales applicables dans les entreprises et la seconde partie nous informent sur les difficultés et les limites de l’application de ces chartes sociales au sein des entreprises et des conséquences irréversibles sur les salariés.
Auteur :
Sandra Palmero : Maître de conférences en Management des Ressources Humaines. Responsable de formation Master professionnel en ressources humaines et organisations innovantes.
Philippe Robert-Demontrond : Responsable du Master Marketing, spécialité Marketing Stratégique et Opérationnel
Enseignement, recherche : management des organisations, comportement du consommateur, épistémologie, méthodologie de la recherche, socio-anthropologie.
Développement : Méthode analytique
Cette œuvre nous montre les différentes conséquences des effets des externalités négatives d’une entreprise sur ses salariés et sur l’intérêt public. Les principaux termes utilisés dans ce corpus sont la régulation sociale, les codes de conduites, les accidents du travail et le stress professionnel.
Tous d’abord il faut savoir qu’il existe plusieurs formes de responsabilités sociales. Le principe de responsabilité sociale correspond à l’ensemble des décisions des actions tournées vers la minimisation des externalités négatives liées aux fonctionnements des entreprises. Ces externalités négatives sont traduites par le fait qu’une entreprise soit ouverte sur leur environnement et que dans celui-ci apparait des variations de l’utilité d’acteurs économiques plus ou moins influent agissant directement sur le bon fonctionnement d’une entreprise. Il est alors important de réagir à ce fléau pour minimiser les conséquences ; il n’est plus question alors de simple recherche de bénéfices mais d’une réelle prise de conscience de mettre en œuvre un principe d’autorégulation pour pallier à ces externalités négatives.
Les auteurs nous informe que l’autorégulation relève de deux principes qui permettrait de pallier ces externatilités négatives ; le premier principe est appelé « corporate social responsability » qui a pour finalité la prise non pas uniquement du profit mais de répondre à des obligations plus larges. Nous avons ensuite le second principe nommé le « corporate social responsiveness » qui a pour viser la rentabilité d’une entreprise lié au développement de son effort social. Deux principes similairement ressemblant mais aux attentes et objectifs distincts.
L’objectif serait que les entreprises répondent aux « attentes et actions sociales » avant que celles-ci ne se transforme en lois dans un cadre juridique stricte. Les entreprises pourrait alors s’organiser d’un point de vue managériale avec une plus grande liberté et souplesse que ci-celle-ci serait imposer par des cadres juridiques stricte. Mais ce principe d’autorégulation va permettre à une poignée d’entreprise qui l’on mit en place de bénéficier d’avantage opérationnel notable et de pouvoir ce démarquer des concurrents ayant une longueur de retard. L’autorégulation n’est pas un principe innée par les entreprises pour cela il existe des chartes sociales pour les aides à s’autoréguler en matière d’action sociale et de RSE.
L’objectif de corpus est de nous faire prendre conscience de l’importance de réaliser un effort sociale en tant qu’entreprise pour le bien être et le bon déroulement que ce soit dans une organisation une collectivité ou une entreprise. Pour mettre en œuvre ses efforts d’action sociale il existe différentes typologies de chartes sociales. On peut noter que trois types de chartes apparaissent ; les chartes éthiques et les programmes de conformités aux normes, les programmes d’identité et de valeur et pour finir les programmes d’identité et de valeur. Globalement l’ensemble de ces valeurs et principes correspondant aux règles de conduite en interne dans une entreprise qui favorise le bon fonctionnement d’une entité et montre l’engagement social d’une entreprise envers la société.
Chacune de ces trois chartres énoncées ci-dessous représente un domaine et point clef de la vie d’une entreprise. La première « la chartes éthique et les programmes de conformités aux normes » s’orientent d’avantage vers la règlementation de la conduite des salariés en entreprise. Les entreprises s’engagent publiquement à soutenir des actions sociales et environnementales de leur développement économique. Il apparait alors le principe d’autorégulation qui se définit donc par une règlementation interne dans les entreprises. La portée de l’autorégulation n’est plus uniquement en interne mais réussi à s’imposer face aux acteurs économique et donc en externe.
On peut constater que ces trois chartes regroupent des points commun notables mais se différencie également, on peut noter que les programme d’identité et de valeurs soulignent d’avantage l’identité, la définition et la communication des valeurs d’une entreprise qu’un programme de conformité aux normes qui s’oriente d’avantage vers des procédures normalisés que doivent appliquer les salariés. Les programmes d’actions sociales quand à eux ressemblent de prés aux programmes d’identité et de valeur car il s’oriente vers la mise en œuvre d’action sociale et non pas la réalisation d’objectif économique uniquement.
Malgré la bonne intention de la mise en place de ces chartes sociales, il est à noter quelles représentent certaines limites. Les chartes de valeurs ne résultent rarement de concertation et de participation avec les salariés d’une entreprise ; il n’y a pas de réelle participation active des salariés.
Les programmes d’actions sociales quand à eux sont rarement contrôlés par des organismes indépendant et il est alors difficile de connaitre le réel résultat tant positif que négatif. Les chartes correspondant aux programmes d’actions sociales sont généralement des chartes se basant uniquement sur des principes basiques et généraux sans réel recherche en amont. Il y a une certaine limite opérationnelle qui freine la mise
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