Étude d'un texte

Ce texte parle des enfants sénégalais qui sont envoyés par leurs parents pauvres, vers une traversée périlleuse en direction des îles Canaries. Les parents envoient leurs enfants vers cette destination en pensant qu’ils auront un avenir meilleur, ainsi pouvoir travailler pour gagner de l’argent et subvenir aux besoins de leur famille respective.

Dans cet article écrit par Benoît Hopquin, il parle principalement de trois enfants dont, Pape Omar qui est âgé de 13 ans qui fit cette traversée meurtrière dont la plupart d’entre eux périssent, comme son frère âgé de 15 ans. Ces jeunes sénégalais ont entre 13 et 16 ans, ce sont les âges auxquels les parents pensent qu’ils sont à même de travailler et de partir seul sur un cayuco (une barque sur laquelle les enfants naviguent sur l’océan afin de rejoindre les Canaries), le voyage est d’une durée de douze jours soit 600 kilomètres en incluant un soleil qui cogne, nul vivre, ni eau.

Dans cet article, le rédacteur retrace la vie d’enfants sénégalais pour qui leur voyage s’est interrompu à l’école du Hogar. Ces enfants sont envoyés aux Canaries pour travailler, mais malheureusement rien ne se passe comme ce qu’avaient prévu leurs parents puisque les enfants sont beaucoup trop jeunes pour travailler d’après la loi espagnole, ils sont donc placés dans des écoles où on leur fait leur éducation.

Le problème de cet établissement et que chaque jour des enfants sont accueillis afin de les scolariser. Cette école qui était auparavant une maison de redressement qui fut réaménagée afin d’éduquer ces enfants immigrés.

Selon la loi espagnole les jeunes sénégalais incombent au gouvernement local des Canaries, ils ne sont donc pas considérés comme clandestins.

Ce document nous montre la pauvreté de certains pays et la vision qu’ont certains parents vis-à-vis de leurs enfants. Ils les considèrent entre autre comme des revenus réguliers alors que malheureusement pour eux, ils ne pourront pas travailler jusqu’à leur majorité réglementée par la loi espagnole.

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