Le mensonge chez les jeunes
Étude de cas : Le mensonge chez les jeunes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ninadynhya • 29 Avril 2014 • Étude de cas • 769 Mots (4 Pages) • 728 Vues
Introduction :
« Qui dit un mensonge dit cent » ce proverbe français ont dit long sur cette maladie fréquente comme la si bien qualifié Amélie Nothomb dans son œuvre Antéchrista ; c’est le fléau de cette planète, et l’invention la plus machiavélique qui soit de l’homme. Le mensonge est chose naturelle depuis la nuit des temps dans toutes les sociétés du mondes avec leurs diversités ethniques et leurs différence majeur sur tous les plans : sociaux, religieux, n’empêche que le mensonge reste un, c’est devenu une pathologie chez l’homme. Mensonge prédateur, mensonge protecteur, ou bien pour frimer, il présente de nombreux visages qui essayent d’effacer une vérité quelconque. .Les exemples de ce fléau ne manque pas tant dans la vie quotidienne, que dans la politique, mais l’on remarque que ce phénomène a pris de l’ampleur dans le siècle dernier, et il est surtout très fréquent chez les jeunes, et vu que j’appartiens à cette catégorie-là mon intérêt a été suscité sur ce sujet auquel les raisons sont flou ; et la question alors se pose « Pourquoi les jeunes mentent ? ».
L’hypothèse que j’ai alors proposé c’est que : les jeunes mentent pour les enjeux qu’il y a dans les situations où ils se trouvent.
Etymologie du mot mensonge:
Du latin populaire *mentionica, du latin mentio (« mention, fausse mention, mensonge »)
Définitions :
Action de mentir, de déguiser, d'altérer la vérité : Le mensonge sert de fondement à sa politique.
Assertion contraire à la vérité : Ce que vous dites est un mensonge.
Littéraire : Ce qui est faux, illusoire, trompeur : Leur bonheur est un mensonge.
Le mensonge chez les jeunes:
Le mensonge est certes banni par la morale et par les conventions sociales, mais pratiquement, chaque être humain a dû mentir, ne serait-ce qu’une seule fois dans sa vie. Par peur, par vantardise ou par méfiance, toute personne peut débiter des mensonges sans pour autant être un véritable menteur. Cela dit, certains sont des menteurs invétérés. Ils font des mensonges auxquels ils semblent croire. Ils laissent libre cours à leur imagination et agissent partiellement ou complètement comme si ce qu’ils débitaient comme mensonges étaient vrais. Une pathologie qui sert de compensation pour combler une réalité non satisfaisante. L’entourage confond généralement le simple mensonge avec le mensonge pathologique. Il peut donc ridiculiser et tourner en dérision celui qui, pour cet entourage, n’est qu’un frimeur et un fanfaron. Or, ces personnes sont malades et croient, dur comme fer, que ce qu’ils disent est vrai ! Ils confondent réalité et imaginaire. Ce qui n’est pas le cas pour quelqu’un qui ment par vice ou qui ment consciemment et volontairement
L’origine du mensonge :
Il semble que le mensonge tient ses origines de la petite enfance. Un enfant qui a été traumatisé par une grande rigidité de la part de ses parents se réfugie dans le mensonge afin d’éviter de sévères châtiments. Or, parmi les règles qu’on inculque aux enfants c’est de ne jamais mentir. Aucun parent ne tolère que ses enfants mentent. Mais si l’on attend des enfants qu’ils soient sincères, les parents doivent donner l’exemple, les aider à s’exprimer sans se sentir menacés et de savoir leur pardonner de temps à autres des gaffes innocentes et sans grandes conséquences. Mais si l’on demande aux enfants de ne dire que la vérité, il faut faire de même. Pour les jeunes le mensonge et chose récurrente, voir même banale, pour confirmer l’hypothèse émise auparavant ; j’ai élaboré une série de question à propos du mensonge dans un lycée avec 94 personne .l’âge des jeunes interrogé et entre 16 ans- 19 ans. Voici le questionnaire :
Questionnaire
Age : profession :
1- Avez-vous déjà menti ?
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