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La liberté d'expression

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Par   •  15 Novembre 2021  •  Synthèse  •  1 591 Mots (7 Pages)  •  759 Vues

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Culture générale et expression

Synthèse de documents

La liberté d’expression

Note :

Observations :

Synthèse de documents :

La liberté d’expression, droit à la vie privée : ces droits fondamentaux recouvrent des réalités très différentes dans le monde. Mais aujourd’hui, ils sont menacés partout, y compris chez nous, où, au nom de la sécurité, des lois et pratiques restreignent de fait les libertés publiques.  Par exemple eArabie saoudite, en 2015 Raif Badawi a été condamné par le tribunal pénal de Djedda à 10 ans de prison, 1 000 coups de fouet et une amende d’environ 235 000 euros pour avoir créé un forum en ligne de débat public. Depuis cette date, l’Arabie saoudite s’est caractérisée par sa répression persistante et généralisée visant les militants des droits humains. Ici, nous allons nous appuyer sur divers documents pour répondre à la problématique posée. Le premier document étudié est de l’auteur Jean Mazars, nommé « La liberté d’expression, la loi et le juge », paru dans un rapport de la cour de cassation en 2001. Ensuite le second document aurait dû paraître dans Le soir Républicain le 25 novembre 1939, par ailleurs celui – ci a été censuré, cet article se nomme « Manifeste censuré » et est de l’auteur Albert Camus. Par la suite, nous verrons un article de Jean – Luc Hees, nommé « Je persiste et signe : l’humour a ses frontières » paru le 1er avril 2010. Et pour terminer le dernier document que nous analyserons s’appelle « Quelle limite à la liberté d’expression ? », écrit par Philippe Plassart, paru le 5 février 2015 dans Le Nouvel économiste.

En quoi consiste la liberté d’expression ?

Dans un premier temps nous verrons la liberté d’expression, une vertu cardinale, un principe incontournable consacré dans la loi et maintes fois réaffirmé comme un droit imprescriptible de l’homme, puis dans un second temps nous verrons que cette liberté doit être exercée avec bon sens et intelligence, dans certains cas, il faudra contourner habilement la censure, dans d’autres cas, il conviendra d’en user sans franchir un certain nombre de limite.  

        La liberté d’expression, un droit qui est fondamentale au sein de la société. En effet la liberté d’expression a de nos jours une place très importante dans nos vies, comme par exemple avec les réseaux sociaux qui permettent à chacun de s’expriment plutôt librement. On peut aussi penser à certains métiers dont le sujet le plus défendu est la liberté d’expression. Soit dans le texte de Jean Mazars, « La liberté d’expression, la loi et le juge », l’auteur a démontré que la liberté d’expression était un droit fondamental de l’homme, elle est précieuse pour preuve, cette liberté est protégée et elle est garantie par la loi. De plus d’un point de vu constitutionnel, la liberté d’expression garantie toutes les autres libertés dont elles découlent et cette liberté légitime l’expression de la souveraineté population. Jean – Luc Hees dans son texte « Je persiste et signe : l’humour a ses frontières », il réaffirme son attachement à la liberté d’expression qu’il considère comme une vertu cardinale, qui est la qualité la plus importante de la république et rappelle alors l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen.

        Par ailleurs la liberté d’expression a aussi une place plus qu’importante au sein des lois régissant le peuple, elle représente un droit précisément défini. Beaucoup de texte de juridiques sont consacrés à la liberté d’expression, en prenant appui sur le texte de Jean Mazars, « La liberté d’expression, la loi et le juge », le texte de loi le plus ancien dans lequel la liberté d’expression apparaît est la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, au sein de l’article 11 qui de plus souligne deux points importants tout d’abord que les pensées et les opinions puissent être communiquées librement et quelles le soit par la parole, l’ écriture ou bien l’impression.  Toujours dans ce même texte, l’auteur déclare que dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme adoptée en 1948, le caractère fondamental de la liberté d’expression dépasse désormais les frontières. La liberté d’expression est aussi reprise dans le Pacte internationales relatifs aux droits civils et politiques adopté en 1966. Jean – Luc Hees dans son texte « Je persiste et signe : l’humour a ses frontières » exprime que la liberté d’opinion et d’expression ne représente rien de plus important pour un républicain ou même un démocrate.

        Les Hommes en tout genre ont eu aussi un rôle au sein de la liberté d’expression : pour eux c’est un droit imprescriptible et nécessaire au quotidien. La liberté d’expression permet de s’exprimer, en effet dans son texte « Je persiste et signe : l’humour a ses frontières » Jean Hees, qui était à ce moment-là responsable d’une antenne de radio, présente des excuses publiques aux auditeurs mais certains ont estimé que la liberté d’expression était atteinte par la déclaration de ces excuses. De plus Jean Hees réaffirme son attachement à la liberté d’expression qu’il considère comme une vertu plus qu’importante de la république. Philippe Plassart, dans son texte « Quelle limite à la liberté d’expression ? » dit que selon lui le droit à la parole doit s’exercer avec responsabilité et mesure, en se limitant aux règles fixées par la république. Par ailleurs dans son texte « Manifeste censuré », Albert Camus dresse un constat sans appel : que la liberté d’expression est censurée sur le plan collectif, mais qu’individuellement la possibilité voire même le devoir de lutter contre la censure et de demeurer libre.

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