L'espace québécois et méthodologie: La ville de Vancouver
Rapport de stage : L'espace québécois et méthodologie: La ville de Vancouver. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar sambrule • 14 Mai 2016 • Rapport de stage • 1 883 Mots (8 Pages) • 757 Vues
SAMUEL BRÛLÉ
L’espace québécois et méthodologie
320-1A4-VI
Groupe 0006
LA VILLE DE VANCOUVER
Travail présenté à
M. Alain Carrier
Département des sciences humaines
Cégep de Victoriaville
24 septembre 2015
TABLE DES MATIÈRES
TABLE DES MATIÈRES
1. Influence de la taille
2. Localisation de Vancouver
3. Une belle ville
3.1. Culture
3.2. Tourisme
Bibliographie
Liste des figures
Figure 1: Facteurs d'accroissement démographique selon la région métropolitaine de recensement 2006-2007
Liste des cartes
Carte 1: Carte de la Colombie Britannique
Liste des photos
Photo 1: Ville de Vancouver 5
La ville de Vancouver
J’ai choisi d’écrire au sujet d’une ville qui a une grande importance au sein de notre pays. Ce qui m’attire de cette ville est que c’est une ville de sport surtout avec les jeux Olympiques de 2010 et moi, le sport j’aime ça jusqu’à lire toutes les statistiques au niveau du hockey et savoir que leur équipe locale n’a pas encore réussit à trouver le fond du filet à leur six premières périodes de parties préparatoires, dont une défaite de quatre à zéro contre San Jose.[1] Bref, revenons au sujet principal afin de mieux comprendre certains phénomènes en lien avec la taille de la ville et sa position, ainsi que la beauté de la métropole.
Influence de la taille de la ville
Cette ville, c’est Vancouver en Colombie Britannique. De mes douze villes, celle-ci est la plus populeuse comptant 2 313 328 habitants en 2011.[2] Comme nous le savons tous, surtout grâce à nos cours d’espace québécois, le revenu des citoyens est fortement en lien avec sa taille. Comme la ville de Vancouver est très grande en parlant de population, on peut en déduire que le revenu des citoyens est plus élevé que celui du reste de la province. Le revenu moyen d’un habitant de Vancouver est de 27,596 $ en comparaison à 25,722 $ pour le reste de la Colombie Britannique.[3] Avec la taille d’une ville comme Vancouver, on peut aussi remarquer qu’il y a beaucoup plus d’immigrants et que la population en bas de 15 ans est plus nombreuse que celle de 65 ans et plus.[4] La raison est fort simple, il y a tout simplement plus d’emplois dans les grosses villes. Grâce aux nombreux emplois, la ville peut continuer de croitre et ce graphique en est la preuve, on peut même observer que Vancouver est l’une des villes qui reçoit le plus de migrants venant de l’international. [pic 1][pic 2]
[pic 3]Localisation de Vancouver[pic 4]
Comme écrit précédemment, la ville de Vancouver si situe en Colombie Britannique, plus précisément dans le sud-ouest de celle-ci. Cette ville est près de l’océan Pacifique ce qui explique pourquoi elle a reçu des précipitations annuelles élevées de 1588 mm au cours de la dernière année et elle est collée sur les lignes américaines, alors c’est normal que la température moyenne du mois de janvier ait été de 4,8ºC l’année dernière.[5] La taille de la ville n’est pas le seul élément à avoir de l’influence. Les villes de l’Ouest ont tendance à avoir de meilleurs revenus que le reste du Canada, parce que le coût de la vie est plus élevé que dans le reste du pays dû au fait qu’il y a plus d’emplois. La preuve est que Vancouver a un revenu moyen de 27,596$ par habitants (comme je l’ai écrit précédemment) tandis que la moyenne des Canadiens est de 25,722$.[6] Puisque la ville est une extrémité du Canada, elle a pu servir à l’essai de l’automotrice diesel-électrique en 1925 qui a fait d’une traite le trajet Montréal-Vancouver en battant tous les records de vitesse sur ce parcours.[7] On peut aussi dire de la métropole qu’elle fait partie des maritimes du Pacifique et que l’océan est son bassin hydrographique.
Une belle ville
Culture
La ville de Vancouver est une ville très culturelle, surtout à cause de l’immigration ce qui fait que plusieurs nationalités sont présentent dans la ville. Cette ville fait bonne impression avec toutes ces cultures surtout du point de vue de la jeune chroniqueuse Sophia Delafontaine qui avait écrit :
Ayant habité dans le Grand-Vancouver depuis que je suis née il y a 17 ans, j’ai toujours été plongée dans la diversité culturelle que représente la grande métropole du Pacifique. À ma première journée à la maternelle à l’école Sir William Osler, je me souviens que j’étais la seule petite fille blanche de ma classe. Dès l’âge de cinq ans, j’ai été exposée à plusieurs manières de vivre, une multitude d’activités et d’attentes culturelles. Grâce aux amitiés que j’ai tissées, j’ai très rapidement été mise en contact avec d’autres cultures.[8]
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