La Fraude Aux Examens
Note de Recherches : La Fraude Aux Examens. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Tousss1 • 13 Novembre 2014 • 1 053 Mots (5 Pages) • 1 021 Vues
Existe t-il des moyens efficaces, selon vous, de lutter contre la fraude à l'examen ?
Depuis toujours et dans tout examens la fraude a été pour certains un moyen d'être diplômé plus facilement. La triche est définie comme un acte illégal, non éthique et immoral qui va à l'encontre des règlements dans les cours ou les universités. Anciennement de simple morceaux de papier dissimulés étaient utilisés pour tricher; aujourd'hui avec l'arrivée de nouvelles technologies frauder semblerai plus simple.
Mais alors comment pouvons nous empêcher cette pratique et surtout le pouvons nous ?
Je répondrai à cette question en décrivant les dispositifs mis en œuvre pour la limiter, les nouveaux types d'examen et enfin en mettant en avant mon opinion personnelle.
Le gouvernement complète continuellement son dispositif anti-fraude. Au baccalauréat par exemple, les feuilles sont fournies après que le sac de l'étudiant soit récupéré par l'examinateur et que le matériel soit visible. Les surveillants se déplacent constamment dans la salle afin de vérifier le bon déroulement de l’épreuve. Cette sécurité est aujourd'hui remise en cause avec l'arrivée des smart-phones et l’accès à internet. Pour faire face les téléphones sont désormais interdit. Et les professeurs sont munis de brouilleur.
Il est ainsi extrêmement difficile pour l'élève de tricher mais cela reste possible.
De plus, l'élève est victime de l'attente parentale mais aussi d'une auto-pression qui est due à l'importance de l'examen final qui vient récompensé ou non les efforts d'apprentissage précédent.
Pression qui s'ajoute à la possible peine encourue si il se risque à frauder. En effet, l'interdiction de passé tout examen durant 5 ans explique que les élèves ne tentent rien. Ils avouent même que frauder à un examen est preuve d'un certain « courage ».
Ces moyens découragent et participent donc à la limitation de la fraude. Mais ils relèvent plus de la réaction à la triche qu'a son empêchement. Effectivement, ils permettent d'attraper le fraudeur et de le punir. Pour limiter cette pratique des campagnes de sensibilisation pourraient être mis œuvre afin d'expliquer à l'étudiant que la triche démontre un manque de principes et de fierté.
Certains pays demandent à l’élève de jurer sur l'honneur et de donner sa parole. Ces méthodes répondent plus à une politique de diminution de la fraude. La question du contrôle continu à aussi été abordée car elle permettrai de limiter la pression sur l'étudiant en baissant l'importance de l'examen final. Le Danemark, lui, a fait preuve d'innovation en autorisant l’accès à internet, orientant son épreuve sur la réflexion. Et en expliquant cette pratique par l’omniprésence d'internet dans la vie moderne. Pour ma part je pense que l'accès à internet affecte la qualité du diplôme obtenue et que cela se rapproche plus d'une triche autorisée qu'une reforme anti-fraude. En effet, un médecin ayant été autorisé à utiliser internet durant son examen aurai donc besoin de celui-ci pour donner les soins à un patient. Internet serait donc la source de connaissance qu'il n'aurait pas eu besoin d’acquérir pour avoir son diplôme.
Il est pourtant possible de supprimer totalement la fraude mais les solutions à ce problème sont impossible à mettre en place. Une fouille légère de l'étudiant avant l'épreuve et une sécurité humaine individuelle
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