Analyse des besoins d'une communauté Anxiété adoslescents

Table des matières

Introduction        3

Précisions méthodologiques        3

Définition et ampleur de la problématique sociale        4

Caractéristiques sociodémographiques et socioéconomiques        5

Causes et conséquences de la problématique sociale        6

Besoins et ressources de la problématique sociale        9

Conclusion        11

Médiagraphie        12

Introduction

Tout d’abord, notre travail s’est fait sur l’anxiété chez les jeunes de 12 à 17 ans. La première étape consistait d’effectuer une recherche documentaire sur cette communauté d’identité. La deuxième étape était d’effectuer une recherche terrain avec une méthode de collecte de données portant sur notre clientèle cible. C’est une analyse de la problématique de l’anxiété chez les jeunes adolescents et pour mieux comprendre celle-ci, elle est appuyée de faits et de statistiques. Premièrement, il aura les précisions méthodologies de notre recherche documentaire et terrain. Par la suite, la définition et l’ampleur de la problématique sociale choisie ainsi que les caractéristiques sociodémographiques et socioéconomiques. Ensuite, il aura les causes et conséquences de la problématique sociale. Pour finir, il aura ainsi les besoins et ressources comme les déterminants sociaux ou les facteurs de protection pour le cadre d’analyse.

Précisions méthodologiques

Pour commencer, les méthodes de recherche utilisées pour la recherche documentaire a été principalement des sites gouvernementaux, des articles de journaux ou bien des études faites par des professionnels. Ceux-ci sont appuyées par des statistiques et des faits pour le mieux représenter et comprendre la communauté. Il a un site internet qui a permis de rapporter plusieurs informations pertinentes sur l’anxiété en général, le Manuel Merck. Celui-ci est comme un dictionnaire pour les professionnels de la santé et pour les connaissances du public, il est intéressant de retrouver ce type d’information précise en ligne. Par la suite, la recherche terrain a été réalisée par une méthode non probabiliste avec échantillon qualitatif et volontaire, le sondage. Il a été répondu par 50 individus âgée de 12 à 17 ans et ils provenaient de l’école secondaire l’ESLE, Pointe-Lévy et le Séminaire St-Joseph (Trois-Rivières).  Le sondage contient 15 questions dont chaque jeune a répondu. Pour l’appréciation de notre recherche, nous avons trouvés notre sujet intéressant et pertinent selon la réalité de cette tranche d’âge aujourd’hui. C’est une tranche d’âge ou le développement peut être affecter facilement selon les facteurs de risque. Cependant, le choix de notre méthode de collecte de donnée serait à améliorer pour les analyses futures. Le sondage prend du temps à créer et adapter pour les répondants. La collecte de données du sondage est plus complexe qu’une entrevue et c’est une méthode non probabiliste avec échantillon qualitatif. Ce type de méthode peut manquer de précision et c’était notre première recherche terrain avec celle-ci donc nos données manquait d’information. Nous avons également manqué de temps puisque le sondage doit être créer et distribuer à l’avance pour que notre analyse des résultats soit la plus précise possible. En revanche, nous avons appris à explorer cette méthode très intéressante et nous sommes très peu à avoir choisi celui-ci donc c’est un beau défi que nous avons surmonté. Nous ayons également rencontré des difficultés lors des données sociodémographiques pendant notre première partie de la recherche puisque nous n’avions pas trouver les bons outils de recherche.

Définition et ampleur de la problématique sociale

Tout d’abord, la recherche documentaire a permis de découvrir la définition de la problématique. Selon le livre de Santé mentale et psychopathologie : Une approche biopsychosociale, 3e édition, l’anxiété se définit comme une sensation de tension intérieure devant un danger imminent réel ou imaginé (Palazzolo, 2019). C’est un état d’appréhension et de crainte à l’égard de ce qui pourrait se produire. Elle joue un grand rôle dans plusieurs troubles psychologiques, dont la dépression (Barlow et Durand, 2016). Cet état d’appréhension et d’inquiétude est associé à une humeur négative, à des symptômes comme la fatigue, une impression d’étouffement ou l’irritabilité (APA, 2015).  Le trouble d’anxiété généralisée (TAG) est un trouble caractérisé par des inquiétudes et des appréhensions excessives, persistantes et incontrôlables liées à des évènements ou à des activités de la vie courante. Il est difficile d’arriver à contrôler les inquiétudes. Le stress aggrave l’anxiété. Ces adolescents rencontrent souvent des difficultés à être attentifs et peuvent être hyperactifs, agités et irritables. Ils peuvent se sentir surexcités, tendus ou nerveux. Ils peuvent également mal dormir, transpirer de manière excessive, se sentir épuisés et se plaindre de symptômes physiques, comme des maux de ventre, des douleurs musculaires et des céphalées. Selon le site de eSantémentale, il y a plusieurs types d’anxiété chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans. Ceux-ci peuvent être atteints de plus d'un type de trouble d'anxiété à la fois. Ceux les plus courants dans cette tranche d’âge sont le trouble d’anxiété généralisée et l’anxiété sociale (phobie sociale). Pour l’ampleur de la problématique, la recherche documentaire a fait ressortir d’intéressante statistiques. En 2018, environ un jeune sur 6 (15%) présentait des symptômes d’anxiété généralisée modérée ou sévère, selon l’Étude Longitudinale du développement des enfants du Québec (ELDEQ). Tandis que lors de la recherche terrain, la question : « Avez-vous reçu un diagnostic d’anxiété à ce jour? » ,28% des adolescents âgés entre 12 et 17 ans ont confirmé avoir reçu un diagnostic d’anxiété. Le sondage non probaliste peut avoir affecté les résultats sauf c’est ceux-ci qui ont ressortis dans la recherche terrain. Cependant, d’après les résultats à cette question suivante du sondage : « Si la réponse précédente est non, croyez-vous avoir des moments, dont l'anxiété vous cause des difficultés dans votre vie ? », donc ceux qui n’avaient pas répondu oui à la question du diagnostic (36 sondeurs). Les résultats de celle-ci ont été 75,1% individus qui ont répondu oui, 5,6% ont répondus un peu ou je ne sais pas et pour finir 19,5% ont répondus non. Donc, 14/50 ont répondu oui, ce qui donne 1/3 alors la recherche documentaire a été similaire à la recherche terrain pour cette problématique.

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