Épreuve synthèse
Thèse : Épreuve synthèse. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar wawa12 • 30 Septembre 2015 • Thèse • 5 359 Mots (22 Pages) • 690 Vues
TABLE DES MATIÈRES
INTRODUCTION 1
1. PROBLÉMATIQUE 2
1.1 Définition du problème 2
1.2 Importance du problème 3
1.3 État de la question 5
1.4 Question de recherche 8
2. ANALYSE 9
2.1 L’identification sexuelle de l’enfant 9
2.2 Le choc émotionnel 10
2.3 L’adaptation de l’enfant 12
2.4 La famille 13
CONCLUSION 15
GLOSSAIRE 16
BIBLIOGRAPHIE 18
INTRODUCTION
Le thème de la recherche est basé sur un phénomène qui est courant dans la société d’aujourd’hui et qui concerne en grande majorité les jeunes au Québec et à travers le monde, soit les effets du divorce chez les jeunes. Bien que les membres de la famille constituent une part importante de l’environnement social du nouveau-né. Les enfants ont tous besoin de passer à travers de certains stades du développement afin de bien se développer et de bien apprendre. Selon le sociologue George Herbert Mead :
Le développement de l’image de soi, l’approbation des rôles sociaux et le besoin de référence pour se définir socialement sont essentiels dès les premières années de la vie humaine. En tant que premier agent de socialisation, la famille – et plus précisément les parents- joue donc un rôle déterminant dans l’adoption par les enfants des rôles sociaux que la société juge appropriés. Ces attentes se traduisent notamment par l’encouragement ou la désapprobation de certains comportements ou de certaines activités, perçus positivement ou négativement selon l’âge, par exemple, ou le sexe de l’enfant .
Ce qui veut dire que l’enfant se contente de reproduire et d’imiter ce qu’il perçoit, l’appropriation des rôles se fait lorsque l’enfant est en interaction avec leurs parents. Étant donné que les parents sont des modèles pour leurs enfants [ils] « jouent donc un rôle essentiel dans la transmission d’une conception de la masculinité et de la féminité, des relations entre hommes et femmes, ainsi que dans la paternité et de la maternité ». Alors, les parents doivent montrer à l’enfant ce qui est bien et ce qui ne l’est pas pour que celui-ci puisse faire une distinction entre les deux. L’analyse de la sera basé sur l’identification sexuelle de l’enfant, le choc émotionnel, l’adaptation de l’enfant et le lien familial et pour finir la conclusion.
1. PROBLÉMATIQUE
1.1 Définition du problème
Le thème de la recherche est basé sur un phénomène qui est courant dans la société d’aujourd’hui et qui concerne en grande majorité les jeunes au Québec et à travers le monde, soit les effets du divorce chez les jeunes. La définition juridique du mot divorce n’est pas réellement définie, car il y a plusieurs sortes de divorces et ils seront définis les unes après les autres. Il y a quatre types de divorces, il y a la séparation de fait, la séparation de corps, le divorce et la dissolution de l’union civile.
La séparation de fait, c’est « un couple marié ou uni civilement peut décider de se séparer après s’être entendu sur toutes les conséquences de cette séparation : la garde des enfants, le montant de la pension alimentaire, le partage des biens communs, etc. ». Ce qui veut dire que chacun vit de son côté sans avoir demandé le divorce, mais aux yeux de la loi, ils demeurent toujours mariés. La séparation de corps, également appelé séparation légale, est « présentée par les deux époux ou par l’un d’eux seulement. S’ils s’entendent et parviennent à régler toutes les questions relatives à la séparation de corps, les époux peuvent soumettre au tribunal un projet d’accord, ce qui les dispense de faire connaître au juge la cause de leur séparation ». Lorsque que la sentence est présentée par le juge, les époux peuvent vivre séparément sans pour autant qu’ils soient divorcés. Le divorce, c’est lorsque « les époux ont vécu séparément pendant au moins un an avant que le divorce ne soit prononcé et ils viv[ent] séparément à la date de l’introduction de la demande devant le tribunal ». Ce qui veut dire qu’ils ne doivent pas fréquenter une autre personne en attendant que la sentence soit prononcée. La dissolution de l’union civile, elle peut « être [réglée] par une déclaration faite devant un notaire à deux conditions.
1.2 Importance du problème
Jusqu’aux années70, le divorce était mal vu, par la suite il est devenu de plus en plus acceptable aux yeux de la société canadienne. Dans le sens que c’était un déshonneur à la famille, car lorsqu’un engagement est pris, il faut le respecté jusqu’à la fin de nos vies et non brisé ce lien qui est sous forme de contrat qui relie les deux personnes ou demandé le divorce après 15 années de mariage, déjà qu’avant c’était les Églises qui avaient le pouvoir sur le peuple, c’était eux qui dictaient ce que la population devrait faire. Le mariage est en effet considéré comme un sacrement, peu importe, les qui cherche à réduire subtilement l’impossibilité de défaire le principe de condamnation du divorce. Les clergés exécutaient ce qui était écrit dans la Bible, dans le sens que Dieu a créé Adam et Ève pour qu’ils se reproduisent que le divorce était interdit sauf que lors qu’un adultère a été commis par l’un des deux partenaires comme l’est écrit dans la Bible Matthieu chapitre 5 verset 32, il affirme que celui qui donne une lettre de divorce. Mais moi, je vous dis que celui qui répudie sa femme sauf pour cause d’infidélité, l’expose à devenir adultère, et que celui qui épouse une femme répudiée commet un adultère, ce qui veut dire que le divorce est une affaire mal saine et mal vue, peu importe c’est qui le demande, car malgré ça les deux personnes commettent un adultère parce qu’ils avaient déjà pris un engagement et c’est comme s’ils se laissaient pour aller voir ailleurs chacun de leur côté, et que les deux partenaires savaient ce qu’ils faisaient. L’historique du divorce au Canada, c’est qu’avant
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