Tele Realité

Synthèse « la télé-réalité »

L’auteur Pierre Docquir annonce deux thèses dans son texte intitulé « la télé-réalité » publié dans le journal du juriste n°30 du 23 mars 2004. Dans son texte il aborde les problèmes liés à la télé-réalité qui sont fortement rependus sur nos chaînes de télévision, ce qui est sans doute l’exploitation commerciale du voyeurisme et de la naïveté du public. La première thèse qui apparait est : « est-ce que la télé-réalité porte-t-elle atteinte à la dignité humaine ?», ensuite la deuxième thèse énoncée est « de la dignité humaine à l’ordre moral », en effet, la dignité peut fonder en droit l’interdiction de certains comportements. L’épanouissement personnel, la liberté de disposer de son propre corps est une des libertés que les hommes disposent mais quand celles-ci sont contraire à la dignité humaine, la justice prend d’autres mesures.

Tout d’abord, au 21ème siècle, nous voyons se mettre en scène des personnes qui subissent de désagréables traitements. Est-ce qu’il n’y a pas là une infraction aux yeux de la justice ? Par conséquent, nous exposons le cas de victimes en accord avec ses mauvais traitements. L’article 3 de la Cour Européenne des droits de l’homme définit l’acte désobligeant en fonction de la souffrance provoqué mais le public témoin de ses actes humiliants peuvent le juger dégradants donc dans ce cas, le cas juridique est autre puisque cela touche directement à la dignité humaine.

Premièrement, nous abordons le cas des activités pratiquées en milieu privé par des actes d’automutilation à caractère sexuelle. Les victimes consentantes rapportent la liberté de leurs actes, tandis que la justice affirme que l’état peut en effet entamer des poursuites pour toutes pratiques entrainant des dommages corporels. Aussi bien que le cas de spectacles durant lesquels de grave actes sont commis sur des personnes consentantes qui se disent elles-mêmes épanouies, mais la justice a jugé que la dignité humaine l’emportait sur la volonté individuelle, selon l’article 23 de la constitution belge, il est obligatoire de mener une vie conforme à la dignité humaine.

Pour conclure, on aperçoit bien que la dignité humaine prône en justice sur l’épanouissement et la volonté individuelle. Bien entendu, les multiples cas se jugent individuellement. La mentalité des juges évoluent selon les siècles, il est vrai qu’il s’agit de prendre parfois une mesure restrictive sur une des libertés, cette alors qu’on applique une triple conditionnalité à l’autorité qui l’applique. La frontière entre le bien et le mal est infime.

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