L'euthanasie

Pour : L’euthanasie n’est pas un suicide simple ou un meurtre si elle est décidée après concertation avec des équipes de médecins, et contrôlée par une loi qui l’encadre.

De plus, la légalisation de l’euthanasie dans certaines conditions permettrait d’éviter la clandestinité du geste et donc ses dérives.

Conclusion : Loi lénonetti (2005) : patient bénéficient d’un meilleur soutien, même si l’euthanasie active n’est pas autorisée.

2 témoignages ont permis de faire avancer ce problème de société : Vincent Humbert et Chantal Sébire (morte d’un suicide car sa demande n’avait pas été traité, et même les politiques n’avaient pas cru à cette histoire, à part le ministre de la santé, à cette époque, Bernard Kouchner)

Religion : à l’exception des protestants, l’euthanasie n’est pas autorisée.

Pas d’avis tranché sur le sujet, il faudrait voir du cas par cas. « Comment voulez-vous qu’un texte recense tous les cas de fin de vie ? « Sarkozy.

Euthanasie ; question posée tardivement, seulement en 1991 que le premier diplôme de soin palliatifs fut donné.

Le dilemme se pose ainsi sur l’euthanasie passive et sur l’acharnement thérapeutique.

En conclusion, le phénomène de l’euthanasie suscite de vives réactions dans toutes les nations et on comprend maintenant aisément pourquoi. C’est un sujet "sensible" car il fait appel non seulement à la législation en place mais à notre culture, notre éducation, notre religion, notre système de valeurs... Bref, des choses qui sont toutes très personnelles et subjectives.

De plus, dans un pays comme la France, où certains se sont battus pour faire abolir la peine de mort, l’euthanasie fait ressurgir la question du droit de vie ou de mort sur autrui mais c’est là où le débat devient complexe : sur soi-même.

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