Le suicide est-il un problème de société
Étude de cas : Le suicide est-il un problème de société. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mgmexx11 • 10 Octobre 2015 • Étude de cas • 1 628 Mots (7 Pages) • 812 Vues
Le plan
Problématique : Le suicide est-il un problème de société ?
Introduction
1 Le suicide : une pathologie inquiétante ?
A Du mal être au suicide
B De données chiffrées alarmant
2 Des réponses difficiles
A La prévention est- elle importante ?
B A travers le monde
Conclusion
Introduction
C'est est la première cause de suicide: près de 70% des personnes qui décèdent par suicide souffraient d'une dépression, le plus souvent non diagnostiquée ou non traitée,
Le suicide est l'acte délibéré de mettre fin à sa propre vie. Dans le domaine médical on parle aussi d'autolyse ( destruction de soi-même).
C'est un phénomène complexe aux causes multiples, souvent résultat d'une accumulation de facteurs individuels et sociaux.
Il est un révélateur du mal-être social. A ce titre et en tant que problème de santé publique, le suicide et pris en compte dans les politiques de préventions. L'importance du phénomène et son évolution sont mesurés par le taux de mortalité par suicide,
Dans notre pays, qui est actuellement l'un des plus touchés par ce phénomène au sein du monde industrialisé, Les dernières données sont de 10268 décès par suicide en 1999.
Du point de vue historique dans
l'empire romain il était d'usage qu'un proche de l'empereur désirant mettre fin à ces jours en demandant au préalable l'autorisation à ce dernier.
Dans l'antiquité, le suicide était comme âpres une défaite dans une bataille afin d'éviter la capture et les possibles tortures, mutilations ou la mise en esclavage par l'ennemis.
Dans la société romaine, le suicide était comme un moyen accepter par lequel on pouvait préserver son honneur
Dans le catholisme le suicide est considéré comme un péché grave sauf chez les ' fou' ou les victimes d'un grand chagrin. De plus on ne devait pas se tuer pour éviter un mal qu'il soit commit par autrui ou par sois même.
1 A Du mal être au suicide
Le fait de se sentir triste, d'être déprimée d'avoir des idées noires ou des difficultés à dormir ne veux pas forcement dire que l'on souffre de dépression. Au fil du temps et des événements, chacun de nous expérimente toute une gamme de sentiments, du plus triste au plus optimiste,
A l'intérieur de cette large palette d'émotions, la tristesse, le découragement et le désespoir représentent des expériences humaine normales,
Ces variations et ces baisses de l'humeur ne doivent pas être confondues avec ce qu'éprouve une personne dépressives,
Pour pouvoir parler de dépression, et donc de maladie, il faut :
- que ces perturbations de l'humeur soient multiples et bien caractérisées: Qu'elles se manifestent de façon permanente pendant une période supérieure à 2 semaines
-Cette dépression entraine un ralentissement dans tous les registre de la vie quotidienne qui ce décline en multiples symtomes qui persistent pendant une longue durée,
la dépression ralentit tous les geste; il faut donc plus de temps pour accomplir les taches habituelles, On n'a pas la force, Les émotions, les pensées et les actions sont comme engluées par la maladie ,
Les populations à risque ( document)
- on peut également souligner la récente augmentation du suicide chez les prisonniers incarcérés dans les prisons françaises , dont le nombre est passé de 60à 125 entre 1987 et 1997 il y a eu 122décès par suicide en 2002,
Moyen ( document)
Les moyens de suicide utilisés par ces personnes sont le plus souvent des moyens dits violents : en 1995 , des suicides ont été réalisés par pendaison , armes à feu noyade ou précipitation L'intoxication volontaire est le moyen utilisé par une minorité des suicidés mais aussi par une majorité des suicidant,
1 B Des données chiffrés alarmant
Depuis le millieu des années 1980, le nombre de suicides en France s' est stabilisé à un haut niveau, proche de 12000 par an,
L'incidence du suicide varie selon le sexe et l'âge, ( document )
contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce ne sont pas les jeunes qui meurent le plus de suicide, mais les personnes âgées, Selon une étude de l'inserm 8% des filles et 5% des garcons, fond des tentatives de suicide à l'adolescence, pour les adultes elles est ainsi prés de 3fois plus élevée chez les hommes que la femme
Le suicide est exceptionnel avant 10ans et ne représente un cause de mortalité significative qu'à partir de 15 ans, Il croit alors progressivement avec l'âge
Ll convient toutefois de souligner que les sujets âgés payent le tribut le lourd à la mortalité suicidaire et que l'impact social du phénomène est maximum dans la période de maturité, en raison de la densité des liens psychosociaux noués à cette époque de la vie,
Elle varie aussi selon les régions de France ( document)
Quatorze régions présentent une surmortalité statistiquement significative par rapport à la moyenne française. Parmi elles, la Bretagne, la Basse- Normandie, et les Pays de la Loire et le Limousin, présentent des taux supérieurs d’au moins 30 % à celui de la France. À l’opposé, une sous mortalité signifi cative par rapport à la moyenne nationale est observée dans sept régions métropolitaines et dans les départements d’Outre Mer. L’Île-de-France, la Martinique, la Guadeloupe et la Guyane présentent les taux les plus Faibles. Seule l’Aquitaine a un taux de suicide non différent de la moyenne nationale.
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