Arnold Van Gennep, les rites de passage

Dans chaque société générale Van Gennep distingue plusieurs sociétés dites “spéciale” qui sont à la fois plus précises et autonome que les sociétés générales.

Selon V.G dans nos sociétés modernes on distingue une forte séparation entre le laïque et le religieux. C'est surtout depuis la Renaissance (XIVe siècle à fin XVIe siècle) qu’ils ont subi toutes sorte d’oscillations à l’intérieur des nations et des états. Par la suite V.G nous informe que la finance, la noblesse et la classe ouvrière passent à travers les nations et les états mais pour passer d’une classe sociale à une autre il faut passer par un acte spécial (cérémonie).

On comprend donc que malgré l’incompatibilité entre le monde profane et le monde sacré il n’est pas impossible de passer de l’une à l’autre.

Cependant Van Gennep nous dit qu'au fur et à mesure que les civilisations avancent on remarque quand même une forte prédominance du sacré sur le profane.

De son point de vue Van Gennep explique que les sociétés spéciales sont actées sur des bases magico-religieuses. Il préfère employer le mot magico-religieux qui définit selon lui au mieux la technique qui ne sera pas confondue avec la science et la métaphysique. Le passage de l’une à l’autre s’exprime par des rites tel que le baptême ou bien l‘ordination. Pour les castes les rites sont plus complexes car la notion de parenté s’ajoute comme une spécialité professionnelle.

Van Gennep explique par la suite qu’il y a un minimum théorique de la solidarité sexuelle avec la séparation des sexes entre notre société et les demi-civilisés qui nous réfère au livre censuré par le clergé en 1934 de Jean-Charles HARVEY “les demi-civilisés”

Dans toutes sociétés confondues il y a des vies individuelles qui passent toutes par des rites ; on peut donc dire que les vies individuelles passent par une succession d’étapes : naissance, puberté social, mariage...

C’est la que Van Gennep rejoint Pierre CLASTRE sur son étude des Guayaki, sur la naissance chez V.G qui correspond à la purification chez les Guayaki (CLASTRE) ou bien la paternité qui est comme quelque chose de symbolique chez les Guayaki

...