Voltaire

voltaire, philosophe des lumiere, a lutter durant son existance sur different conflit:la guerre, l esclavage,l'intolreance...)

dans son oeuvre melanges, pamphlet et oeuvres polemique parut en 1768 il aborde la place des femmes dans la societe et de la depandance des femmes par raport a leurs maris.

L’extrait proposé retrace le dialogue entre un abbé et une femme de l’aristocratie, en colère contre une phrase qu’elle a lue dans les Epîtres de Saint- Paul : « Femmes, soyez soumises à vos maris ", elle expose sa propre vision de la femme et blame 'homme dans son intolerance.

I/femme de caractere au langane liberé.

la marechale prand possesion de la discution, en demandant une quentite de questions de facon tres rapide ne laissant pas le temps a l abbé de reagire."est'il marier?""et pourquoi soumise s'il vous plais""somme nous donc des esclaves?"

associer a cela, les nmbreuses exclamation l aisse entandre son indgniation a l egard des femme dans la societe."obeisser!","j'aie un maitre!"," quoi!"...

de plus voltaire utilise un langage tres imager "une maladie de 9mois" ce qui demistifie completement de la beatee de l enfantement.effectivement, a l epoque les naissances etait pas maitriser ni volontair et la grossesse etait vecu comme une calamite.mortalite juvenil impotante et rique lors de l acouchement.

lorsque la marechale decrit l'homme, elle evoque son aspect physique de facon caricaturale: un « menton couvert d’un vilain poil rude », qu’il faut « tondre de fort près".( on retrouve les adj negatifs vilein et rude)

la marechale dit tout ce qu'elle pense, sans ce soucier de regles et convenances de l epoque, elle aparait donc comme une femme de caractere evoquant de facon cru les realite de la vie, sans l embelire.(grossece: maladie de 9mois, l'acouchement:mettre au jour avec de tres grandes doulheurs un enfant.les regles: des incomodite tres desagreable.)

elle depein la vie de la femme en utilisant le champs lexicale de la douleur.

cette femme ce montre aussi tres irrespectueuse, se moquant de Saint Paul "j ai jeter son livre", il etait"tres impoli"et "tres difficile a vivre": propot meprisant envers ce religieux.

la marechale apret donc comme une femme libre et parlant librement.elle parle de ses ament a un abbe!

" nous nous promîmes d’être fidèles : je n’ai pas trop tenu ma parole, ni lui la sienne"l 32

on remarque aussi qu'elle accepte les infidelitees de son maris;elle accepter donc la liberte mais refuse tout aservisement, et depandance. elle utilise le mot "esclave" pour qualifier le sort des femmes ce qui provoque l'indigniation.

II/la marechale: image de voltaire au feminin qui cherche a ocnvincre.

au debut de l extrait, elle mene le combat de facon personnel: pronm JE mais au fur et a mesure de l extrait etudié on remarque quelle prand la parole au nom de toutes les femmes"nous" "la nature" " pour une femme de qualite "

elle

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