Les formes de l’argumentation
Rapport de stage : Les formes de l’argumentation. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar emelineg1308 • 26 Avril 2021 • Rapport de stage • 805 Mots (4 Pages) • 411 Vues
Les formes de l’argumentation
l’argumentation directe : discours, essais
Le discours permet de s’adresser directement à son interlocuteur, voire de l’accuser par une tonalité polémique comme le fait H.Auclert avec son discours lors du 3° congrès ouvirer en 1879. Pendant son discours, Hubertie Auclert défend que la femme n’est pas reconnu par les hommes, elle défend la condition féminine et accuse la République ainsi que les hommes en général de nous traité en tant que personne insignifiante. Nous remarquons, qu’elle parle à un auditoire car tout d’abord, les premiers mots que l’on entend sont « citoyens et citoyennes ». En nommant ces personnes, la journaliste exprime clairement à qui elle parle, les personnes concernés se reconnaissent. De plus, elle utilise à de nombreuse reprise la deuxième personne du pluriel, le vous. En utilisant vous, votre vos tout le long de son récit on n’oublie jamais à qui elle parle. Elle ne se cache pas à travers une fiction ou des personnages. Elle assume totalement ses propos et veux absolument qu’ils soient compris par son interlocuteur. En lisant ce texte, on remarque directement qu’il est destiné à être lu devant une assemblé de personne. Ensuite, elle accuse la personne à qui elle s’adresse en citant des cas précis. Par exemple en leur demandant si ils sont pour l’égalité. Ils répondent tous à l’unanimité oui en pensant directement à une égalité homme homme quand on leur parle des femmes alors leur réponse change directement pour un non. Elle les accuse en disant que nous ne sommes que des personnes secondaire, moindre, insignifiante, mais sommes nous seulement des personnes à leur yeux ? Vient on parfois a se demander. Elle vient même à impliquer la république dans son discours. Dans leurs essais, Rousseau et Condorcet imposent leur vision de l’éducation féminine sur le mode de l’injonction. Rousseau, nous dit que tant que la femme que sera pas éduquer pour plaire à l’homme alors nous n’auront pas accès au bonheur. Car oui, selon Rousseau la femme n’a été créé que pour plaire et satisfaire l’homme. Il faut apprendre au femme à être estimable, belle, plaisante… Du pont de vue de Condorcer, la femme se doit d’être éduquer pour éduquer son enfant. Il affirme qu’une femme ignorante ne peut pas éduquer correctement son enfant et que cela cause des inégalités dans la famille ? Tous deux dans leur essais parlent du bonheur. La nature humaine toujours en quête du bonheur réagit à ses mots et écoute donc attentivement les propos de l’écrivain. Pour persuader, Etienne de Neufville utilise l’ironie dans une satire mordante. En effet, l’auteur dans son texte phycologie de la femme, nous écrit sur un ton tout à fait ironique que la femme est libre de faire se qu’on l’oblige de faire en réalité. Nous retrouvons se mot, libre à toute les lignes pour bien insisté dessus, la femme est libre d’aller en couvent, elle est libre de se mari avec un homme riche et titré, elle est libre. Nous comprenons pourtant très bien que se texte est une satire et que la femme est rout le contraire. Elle n’est pas libre mais destiné à faire ses choses là. Il n’y a pas d’autre issu pour elle. Pas d’autre vie à imaginer. On lui apprend depuis toute petite que sa vie sera celle là sans jamais lui parler d’une autre possibilité. Il est alors impossible pour elle d’imaginer un autre chemin à prendre ou une direction différente. Elle suit, elle obéit. Au contraire,Simone de Beauvoir et Francoise Héritier démontrent leurs propos de façon rationnelle, à travers une démarche scientifique. Francoise Héritier nous cite des chiffre et nous montre le changement de l’économie après avoir reconnue un minimum les femmes et Simone de Beauvoir se base sur des faits réel de la vie de la femme sans tenter de persuader juste en exposant la réalité bien assez choquante comme ça.
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