Alain Garrigou : l'isoloir

1)L’idée que défend l’auteur est que l’isoloir sera bénéfique à l’individu qui pourra alors s’exprimer librement et s’affirmer ne prenant pas en compte son environnement sociale. Il va de ce fait dans le texte donner les étapes qui ont permis la mise en place de l’isoloir en insistant sur les instruments de l’élection électorale ainsi que ces pratiques. Tout au long du texte il va insister sur l’idée que l’isoloir et l’enveloppe où nous intégrons le bulletin fut compliqué à instaurer au XX e siècle car elles étaient opposées à des pratiques qui jusqu’à la dominait jusqu’au XIX è siècle et dont l’objectif était de plébisciter l’ordre sociale existant.

2)À l’époque nous avons deux groupes distincts qui s’opposent concernant l’utilisation de l’isoloir :

Nous avons d’un côté le refus de la mise en place de ce dernier de la part des élus conservateurs et des républicains modérés. Ce refus était dû à des calculs stratégiques et mais aussi à des conceptions patrimoniales. Il considérait que l’isoloir était « associé aux phantasmes de la désagrégation sociale, d’autant plus qu’ils considèrent leur élection comme le prolongement naturel de leur domination sociale. ». D’ailleurs ces derniers, pour ne pas faire par sortir cette loi disaient que ça allait être une gêne supplémentaire pour les électeurs. De même que certains expliquaient qu’il y avait une entrave et une gêne pour les lecteurs provoquant la lenteur des opérations électorales des embouteillages devant l’isoloir. Mais le refus de l’isoloir malgré qu’il fût présenté sous des arguments techniques il était avant tout un refus éthique. Pour les républicains l’isoloir n’avait pas l’avantage de la tradition républicaine et se prêtait ainsi à l'expression de prévention inévitablement lié au rôle électoral des préfets. De ce fait la réforme pouvait sembler menacer la fiabilité de leurs prévisions électorales et leur capacité à orienter les élections.

De l’autre côté nous avions les partisans de l’isoloir, les réformateurs qui tentaient par-là « d’imposer une définition légitime de la transaction électorale conforme à leurs conceptions et à leurs intérêts d’entrepreneurs politiques spécialisées, d’autant plus portés à séparer l’activité politique des autres activités sociales qu’ils devaient, la plupart du temps, leur position sociale à leur élection. » Mais retenons le fait qu’au début ses partisans avaient peur de fraude excessive et de pression électorale et voyaient ça comme quelque chose qui allait interdire et sanctionner les pratiques électorales irrégulières. De même que les bagarres au détriment des classes populaires après le vote étaient quelque chose de fréquent après les votes. Même s’ils craignaient une absence de liberté, en réalité ils comprirent que la publicité du vote appliquer seulement que les lecteurs soit socialement indépendant.

Puis prenons en compte le fait qu’au début de la mise en place de l’isoloir, le secret du bulletin n’était pas présent, car en réalité les papiers n’étaient pas uniformes et nous parvenions à vois facilement à travers le nom inscrit.

3) Pour l’auteur le rôle de l’isoloir ce n’est plus seulement mettre le lecteur

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