FICHE PERITONITE AIGUE
Étude de cas : FICHE PERITONITE AIGUE. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar drewlis • 21 Décembre 2020 • Étude de cas • 897 Mots (4 Pages) • 357 Vues
I DESCRIPTION DE LA SITUATION
La situation concerne Mme L, 42 ans elle est schizophrène et à un diabète de type 2. Je m’occupe d’elle ce jour pour la réalisation de la glycémie. Je prépare mon matériel en amont. Mon chariot est désinfecter au préalable, avec un haricot pour les déchets, un contenaire dasri, un plateau contenant les insulines, les languettes et le lecteur glycémique ainsi que des gants. On ne se connait pas, c’est la première fois que je m’occupe d’elle pour ce soin. Mme L arrive dans la salle de soin je la salue et me présente. L’infirmière lui dit d’aller se laver les mains, ce qu’elle fait puis je lui indique de s’installer sur le fauteuil. Elle me demande si c’est qui vais lui faire la glycémie, je lui réponds que oui. Elle me dit d’avance "j'espère que vous ne me faite pas de mal". Je lui réponds qu’elle ne doit pas s’inquiété que je ne lui ferais pas mal et que ce sera rapide. Je lui pique au niveau du majeur puis récupère la goutte de sang sur la languette préalablement inséré dans le lecteur glycémique, je lui demande si ça va elle ne me répond pas, l’infirmière intervient en lui faisant la remarque qu’on lui avait posé une question, elle répond que oui ça va. Le résultat de glycémie suite au protocole indiquait la nécessiter d’une injection d’insuline rapide. De plus qu'elle a en systématique de l'insuline lente le matin. J’élimine la languette dans le dasri. Au moment de lui annoncer qu'elle va avoir 2 autres d'injections d'insuline, elles expriment son refus il dit : « non je ne veux pas que vous me piquiez, vous m'avez fait mal ». Je ne sais pas quoi dire l'infirmière intervient et lui dit d’arrêter, que des piqûres elle en a tous les jours et que au vu de sa glycémie elle en a besoin. Finalement elle se laisse faire, je réalise l’asepsie de la zone au niveau du ventre pour piquer avec une compresse imprégner d’un antiseptique, je réalise un pli et la préviens avant de piquer et n’a pas de réaction. Je réalise l’injection puis j’élimine mon aiguille dans le dasri. Je lui demande comment elle va, elle ne me répond pas. Je lui annonce alors que j’ai terminé, puis elle quitte la salle de soin. Je réalise la désinfection de mon guéridon ainsi mes plateaux que je mets dans le bac de trempage. Je jette mes gants et me désinfecte les mains.
II ANALYSE DE LA SITUATION
Concernant mes difficultés elles sont principalement dû au fait que j’étais dans ma période d’adaptation, le service et les patients me sont inconnus. L’élaboration du premier lien avec le patient pour qu’il puisse nous faire confiance n’est pas toujours facile à créer. Comme invariant j'ai pu relever dans cette situation le respect de l’identiovigilance. La vérification de la prescription médicale et du protocole. La gestion des déchets. Le port de gant. L’asepsie et la désinfection du matériel.
Comme aléas j'ai relevé le fait que Mme L ait refusé en premier lieu l’injection d’insuline.
La particularité dans cette situation concerne d’abord le fait que Mme L à une pathologie qui nécessite d’être vigilant dans notre façon d’agir. Je n’ai pas connaissance des manifestations qu’elle
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