Systeme D'exploitation

Table des matières

Système d'exploitation 1

I – Gestion du Système des Utilisateur 1

Les mots de passe 2

Les Groupes 3

II - Le système de fichier 3

partionnage 4

Formatage 5

Structure de Format 5

Structure Interne d'un FS 5

Structure Logique 5

Informations dans l'INODE : 6

Système de fichiers arborescent (UNIX/MAC OS/ WINDOWS/...) 6

Graphe (la plupart des systeme hors windows) 6

Ensemble (WINDOWS) 7

Notion de pathname 7

Ajouter de liens au systeme de base 8

Graphe 8

Ensemble 8

Destruction d'un « objet » désigné par un pathname 8

Ensemble 8

Graphe : Destruction non directe 8

Destruction d'un directorie 8

Application à Linux 8

restriction 9

Architecture Physique 9

Qu'est ce que la Fragmentation ? 10

le pourcentage de fragmentation 10

Défragmentation sur la même partitionnement  10

Journalisation du FS 11

III – Gestion des processus 11

Qu'est ce qu'un Processus ? 11

- Création d'un processus 12

Qu'est ce qui caractérise un processus ? 12

Les Flux 12

L'environnement 13

Méthodes pour gérer les ressources processus. 13

1 Mode Coopératif ( - efficace, +ancien ) 13

2 Mode préhemptif 14

4 - La gestion de la mémoire et des « caches » 14

I – Gestion du Système des Utilisateur

Pour un OS, 1 utilisateur n'a pas de nom mais un numéro.

Pour tout objet (dont les users) = Numéro

Un User interagi avec le système via un interpréteur de commande (Interface de type : texte (shell) « coquille » ou graphique (X11, Windows,.....)

Le shell est lancé lors du login (identification auprès du système) (pour les système multi-utlisateur) ou immédiatement pour les mono-utilisateurs

La procédure vérifie la concordance entre login/password

Si OK => Récupère le numéro de l’utilisateur correspondant à l'username et devient cet « utilisateur » et exécute le shell avec les droits utilisateurs dont Entrée/ Sortie sont redirigés sur la « console » ou vous avez effectué le login/

Pour gérer ça, le système gère une table Utilisateur dans cette table, on retrouve :

- nom de l'utilisateur (username)

- son numéro d'utilisateur (UID) Users Identification

- son numéro de groupe (GID) Group Identification

- son Mot de passe encodé (seul le process d’administration y a accès)

- le shel a utiliser

Sous UNIX, ces informations sont stocké dans 2 fichiers

/etc/passwd (visible par tous) : contient toute les infos utilisateur sauf le password

/etc/shadow (seul l'administrateur y a accés ) contient le password

ex : /etc/passwd :

username : password(jusqu'en 1980) : UID : GID : GECOS : /HOMEDIR : SHELL

GECOS = commentaire => nom complet, Numéro de poste, Duréee de validité du compte, date de démarrage,...

/etc/shadow

username : password : liste d'info numérique (validité du compte...)

Sous UNIX, il existe un et un seul utilisateur privilégié qui peut accéder à TOUT ce qui se trouve sur la machine( ce qui appartient à la machine ) = root (UID =0)

=> tout processus s’exécutant avec les droit de l'UID =0, peut faire ce qu'il veut sur la machine.

Les mots de passe

Comment décoder un password à partir de son encodage ?

1 password = 8 caractéres max en général

Encodage :

=> Pour décoder un mot de passe, il faut encoder tout les mots de passe et comparer l'encodage avec celui que l'on veut décoder.

=> Si 8 caractères => 256⁸ encodage différents or sur un clavier, on peut accéder qu'à environ 100 caractére => 1016

encodage maximum.

Si le mot de passe ne contient que des lettres => 52⁸ encodage max soit 1,125 10¹3 => craquage en < 10 seconde

l'encodage d'un mot de passe est de largeur fixe. Un mot de passe est toujours encodé de la même façon. Dans les fichiers, il n'y a pas seulement les mots de passe. Les passwords sont composés du mot de passe et de la « graine » (généré aléatoirement) afin d'éviter le même encodage pour 2 mot de passe identique.

Si password = * (aucun mot de passe encodé) => compte bloqué

...