L'écran
Fiche : L'écran. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar aaabbb • 1 Juin 2013 • Fiche • 366 Mots (2 Pages) • 610 Vues
La multiplication des écrans dans tous les domaines de la vie professionnelle, culturelle et les loisirs, semble interposer entre les choses de l’esprit et ce qu’il est convenu d’appeler la réalité tangible, un troisième monde, celui de la médiation écranique, véritable lucarne sur le visuel iconique, sur le virtuel et "conquête de l’ubiquité" infinie (télévision par satellite, informatique, Internet, jeux vidéos, etc.); notre vie se passe devant les écrans. Or cette écranité proliférante, par ses contraintes de focalisation, par sa lumière "immanente" distincte des éclairages naturels et artificiels dans lesquels nous baignons, par ses effets de leurre pathétique, etc., est devenue un lieu crucial de questionnement pour les artistes. Comment, avec quelles œuvres, la création plastique peut-elle "artialiser" ce troisième monde? Que saurons-nous élaborer pour relever ce défi? Quelles réflexions, quels nouveaux concepts peut-on produire sur le plan de la recherche qui s’y articule?
L'écran n'a envie de rien. Le subjectile de verre constitue néanmoins un monde-réceptacle, transitif quoiqu'autonome en tant qu'objet. Il compartimente la vie moderne en autant de cadres et cadrans, administre notre quotidien sans que nous soyons tout à fait conscients des conséquences que cela produit sur notre relation aux êtres et aux choses. Notre manualité se trouve dans le meilleur des cas asservie par les claviers, les télécommandes, les manettes, etc. Notre vision découpée, transposée, aplatie, s’éclaire d'une lumière électronique venue de l’intérieur des postes.
Le monde des écrans nous sert et nous le servons (serveurs), il nous encombre aussi et va vite rejoindre le cimetière des objets obsolètes pour être immédiatement remplacé par d'autres écrans plus performants. Mais plus le temps passe, plus les écrans se multiplient sous nos yeux, chez soi, dans les écoles, dans les gares, au bureau… On en réclame encore et encore, toujours plus.
Mais le "petit écran" de prédilection demeure avant tout le téléviseur.
Notons que cet écran de hbcnbncgvncnerre me protège de tout sauf de lui-même. dans ce monde pseudolithique (Manzisdfni), qui vit à l'âge de lcxfbdxhbgfxa "pierre virtuelle". il demeure le dernier recours de la physicité qui caractérisait les anciennes machines.
C’est par sa lumière que l’écran capte nwvdxxdos regards et le flux des images, l’immanence de la lumière, font oublier la boîte, l
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