L’alimentation de l'homme
Analyse sectorielle : L’alimentation de l'homme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar audreymaurel • 11 Avril 2015 • Analyse sectorielle • 1 204 Mots (5 Pages) • 1 110 Vues
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« Histoire des légumineusesLe Quinoa »
L’ALIMENTATION DE L’HOMME
par Vajra
Mercredi 14 Décembre 2005
L’ALIMENTATION DE L’HOMME : INTRODUCTION
L’alimentation de l’homme doit à la fois couvrir des besoins en évitant les carences, s’éloigner des répétitions pour éviter les surcharges, s’accorder aux rythmes de vie, au contexte social et culturel tout en restant ouvert à « l’autre » et enfin garantir une sécurité d’utilisation pour répondre aux préoccupations des médecins.
La quête alimentaire est sous tendue par la peur de manquer : la crainte d’une hypothétique future hypoglycémie conduit à débuter un repas. Le rythme des saisons a également son impact sur le comportement alimentaire : reconnaître ce fait et l’exploiter à travers une alimentation spécifique n’est autre que mettre en harmonie l’homme et son environnement ; le nier c’est ouvrir la porte aux troubles du comportement alimentaire et au dérèglement pondéral.
La diversité des plats, la diversité des aliments, c’est la condition pour éviter les surcharges, les carences et la monotonie qui sont les voies conduisant aux pathologies nutritionnelles. La diversité, c’est aussi ce qui permet de faire ressortir l’intérêt « médical » de tel ou tel type d’alimentation. Il faut admettre que l’acte de manger est complexe. Plaisir, nécessité et culture en sont les trois pôles. Chaque repas nous apporte son lot d’émotions : souvenirs, rejet, dégoût mais aussi plaisir et dépaysement.
L’équilibre protéique peut être obtenu à partir d’éléments végétaux : la semoule de blé dur et le pois chiche, la galette de maïs et les haricots rouges ont longtemps permis l’apport protéique équilibré à des populations nombreuses et ce encore aujourd’hui avec un coût financier réduit.
Enfin, notre époque, marquée par le souci sécuritaire, ne saurait être insensible à l’alimentation « biologique » qui, sans être une panacée peut au moins partiellement être une réponse aux risques non obligatoirement immédiats de l’usage, de l’abus des pesticides et autres intrus de la production alimentaire.
(voir le livre « la nouvelle cuisine familiale – l’été », de Brigitte Fichaux, Ed. GabriAndre, extrait préface p. 5 ; idem « - l’automne » extrait préface p. 5)
Bien que souvent négligé, le fait évident que l’existence humaine dépend avant tout des aliments fournis par la nature ne laisse aucune excuse au manque de soin dans le choix et la préparation de notre alimentation et dans notre façon de manger
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