La photoautotrophie de Rhodopseudomonas palustris

La photoautotrophie de Rhodopseudomonas palustris :

Introduction : Rhodopseudomonas palustris est un Procaryote du groupe des Protéobactérie. Cette bactérie pourpre non sulfureuse est qualifiée de versatile car elle est capable d'adapter son métabolisme énergétique à des conditions environnementales très variées. En effet elle est capable d'utiliser la lumière (elle absorbe le plus entre 800 et 850 nm), la matière organique ou inorganique comme substrat.

On retrouve Rhodopseudomonas palustris dans les soirées humides des cours de salsa où elle absorbe nutriments du buffet à volonté avec ses copines du caleçon. Grâce à l’énergie lumineuse, elle fournit l’ATP nécessaire aux mouvements caliente que requiert cette danse endiablée. Les réactions d’oxydo-réduction permettent le rapprochement des Q.

Elle vit dans les couches superficielles des sols gorgés d'eau, à la limite oxique (où elle respire) et anoxique (où elle fait la photosynthèse). Elle peut se développer selon l'un des quatre modes de métabolismes : photoautotrophie, photohétérotrophie, chimioautotrophie, chimiohétérotrophie. Nous allons traiter du cas de la photoautotrophie en anaérobie chez cette bactérie. Elle fixe le CO₂ dissous de l'eau, le diazote (N2) et le thiosulfate (S2O32-) extérieurs. Après ce processus, elle rejette de l'ammonium (NH4+) et du méthane (CH4). R. palustris est donc capable de dégrader de nombreux composés xénobiotiques polluants.

Afin de collecter l'énergie lumineuse et de la convertir en énergie chimique, quatre complexes intégrés dans la membrane cytoplasmique sont mis en jeu. Ce sont les antennes collectrices de lumière et le centre réactionnel du photosystème II (pas de photosystème I), le complexe b/c1, et l'ATP synthase.[pic 1]

[pic 2]

PS des auteures : le paragraphe 2 est une blagounette mais tout le reste est correct ;)

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