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La mort et son processus

Étude de cas : La mort et son processus. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  3 Février 2013  •  Étude de cas  •  638 Mots (3 Pages)  •  839 Vues

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existe parfois des dérèglement qui remettent en cause cette mort régulée : la cellule est alors dite immortelle car elle peut se scinder en cellules filles un nombre de fois illimité. Les organismes unicellulaires qui se reproduisent uniquement par scissiparité sont en principe immortels, bien qu'après marquage il apparaisse que ces cellules vieillissent elles aussi, ce qui altère leur capacités homéostatiques et reproductives. Chez les organismes pluricellulaires, les cellules sexuelles, dites germinales, sont potentiellement immortelles, contrairement aux cellules de leur enveloppe somatique qui finissent irrémédiablement par mourir sous l'influence des facteurs pathogènes La mort est un concept qualifiant l'état d'un organisme biologique ayant cessé de vivre (même si ce terme s'utilise également au sens figuré pour désigner par exemple la dégénérescence d'une étoile1, ou d'une langue ayant perdu ses derniers locuteurs2). Cet état se caractérise par une ruDans la religion juive, on considère que la mort n’est que la séparation du corps (gouf) et de l’âme (néfesh). Cette âme, une fois libérée de son enveloppe corporelle va selon les actions réalisées dans la vie humaine dans différents lieux. Si les actions ont été bonnes et si le juif a respecté les commandements de la Torah son âme montera au ciel dans des degrés plus ou moins élevés et ce grâce à la légèreté de son âme. Au contraire une vie remplie de pêchés alourdira cette âme qui sera condamnée à errer sur terre, au niveau 0, et désirer perpétuellement sans pouvoir satisfaire ses besoins faute de corps matériel. Un état infernal d’errance et de souffrance.

Lorsqu'une personne décède, on doit l'enterrer au bout de trois jours (l'âme peut revenir dans le corps du défunt et peut revenir à la vie, sous un délai de trois jours. La seule raison qui fait que l'on enterre pas le mort le jour même, c'est quand le décès se déroule juste avant ou pendant un jour de fête (Yom-Tov). Un homme (bénévole d'une association, la Hevra kaddisha, la « confrérie sainte » en français) qui ne connaît pas le défunt, nettoie le corps, soigne les blessures (si le défunt en avait), l’habille d'une robe blanche et couvre la tête du défunt avec son talith qu'il portait lors de sa vie. Ensuite, la levée du corps se déroule en une heure. Le corps du défunt, (couvert des pieds à la tête), est exposé dans un cercueil dans sa maison où à l'hôpital. Seule la famille est autorisée à rester autour du cercueil. À ce moment-là, la personne qui a nettoyé le corps lit les tehillim. Lire les tehillim est censé interpeller l'âme du défunt, car l'âme est pendant sept jours après le décès, juste au-dessus du corps, et voit et entend tout ce qui se passe dans la pièce. Enfin, a lieu l'enterrement. Les amis et la famille se rendent au cimetière, un discours en hommage du défunt est prononcé et des bénédictions sont récitées avant la mise en terre. Lorsque l'on enterre le cercueil, les endeuillés (fils, frères et parents du défunt) jettent de la terre sur le cercueil avant de l'ensevelir. Les endeuillés déchirent alors leur vêtement en signe de deuil et récitent enfin le kaddish.

La religion juive accorde une importance extrême et un profond respect au défunt. On récitera alors le Kaddish

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