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De notre système solaire à l'Univers.

Dissertation : De notre système solaire à l'Univers.. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  11 Avril 2022  •  Dissertation  •  1 786 Mots (8 Pages)  •  391 Vues

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Introduction - Il y a plus de 3.5 Ga (milliards d’années) la vie est apparue sur la Terre. Aujourd’hui après des milliards d’années d’évolution, nous étudions les circonstances nécessaires à l’émergence de la vie pour un jour, éventuellement, pouvoir identifier une planète habitable (capable d’abriter une forme de vie) et faire avancer nos connaissances en la matière.

I - La vie est possible, voir même probable ailleurs dans l’Univers.

Document 1 - Le premier document est un texte nous aidant à définir ce qu’une “zone d’habitabilité” et une “planète habitable” sont.

Nous connaissons à ce jour 400 exoplanètes, grâce à des calcules nous pouvons trouver la zone d’habitabilité de chacune d’entre elles. Nous savons aussi que la position d’une planète dans son système est cruciale pour l’apparition de la vie. La zone d’habitabilité est une zone théorique autour d’une étoile centrale où les planètes y orbitant pourrait contenir de l’eau liquide. Ces planètes sont considérées comme “habitable”. Cependant il faut noter que le fait qu’une planète comme celle-ci soit habitable ne veut pas dire qu’elle est habitée. Les planètes en orbite en dehors de la zone d’habitabilité elles, sont moins probable de contenir de l’eau liquide, cela ne veut pas dire que la vie y est impossible.

Document 4 - Le document 4 est un graphique nous permettant de définir la zone d’habitabilité autour du Soleil et de Gliese581 en nous donnant la masse de l’étoile centrale (en masse solaire) et la distance des planètes en questions autour de leur étoile(en unité astronomique).

Système Solaire : Terre et Mars se trouvent toutes les deux entièrement dans la zone habitable. Si nous prenons en compte la présence de l’effet de serre de Vénus nous pouvons élargir la zone habitable telle que Vénus soit positionné dedans. Mercure est hors de la zone habitable.

Gliese581 : Aucune planète du système Gliese581 se trouve entièrement dans la zone habitable cependant, les planètes “C” et “D” se trouve entre la zone habitable et la zone d’extension potentielle ce qui veut dire que si nous apprenons la présence d’autres facteurs comme un effet de serre ou leur activité tectonique nous pourrons élargir la zone habitable. Les planètes “A” et “B” ne sont pas dans la zone habitable.

Document 5 - Le document 5 est une photographie d’Encelade vus pas la sonde Cassini en 2005.

Encelade est un satellite naturel de Saturne. Les geysers observés à la surface d’Encelade en 2005 nous prouvent que la présence d’eau est possible en dehors de la zone d’habitabilité autour du soleil, ce qui suggèrent que si l’eau est propice à la vie, celle-ci serait possible autre part dans l’Univers et notamment sur Encelade.

Document 3 - Le document 3 est un corpus d’extraits de deux textes. Nous allons premièrement analyser le première extrait en accord avec la première partie.

1/ Richard Dawkins utilise des estimations chiffrées au milliard pour nous montrer qu’il existe un nombre incalculable de galaxies et de planètes : “ On a estimé qu’il y a entre 100 et 300 milliards d’étoiles dans la galaxie et aux alentours de 100 milliards de galaxies dans l’univers. En éliminant quelques zéros au titre d’une prudence ordinaire, un milliard de milliards reste une estimation raisonnable du nombre de planètes dans l’univers.”, il prend aussi en compte la possibilité que l’origine de la vie peut-être un événement si rare “qu’il n’ait pu se produire qu’une fois sur un milliard de planètes”. Il en arrive à la conclusion que même si nous réduisons cette probabilité, la vie serait quand même apparue sur au moins 1 milliard de planètes dont la terre.

Bilan - Grâce aux progrès scientifiques et technologiques nous connaissons à ce jours 400 exoplanètes. Nous sommes aujourd’hui capables de calculer pour chacune d’entre elle une “zone d’habitabilité”, elle est calculée en prenant en compte la distances des planètes orbitant autour de l’étoile et la masse de l’étoile centrale. Cette zone est une zone théorique, c’est dans cette zone que l’eau est susceptible d’être à l’état liquide, ni trop proche de l’étoile pour ne pas s’évaporer et ni trop loin pour ne pas gelée. La zone habitable nous permet de différencier les planètes susceptibles de contenir de l’eau liquide à leur surface de celle dont la probabilité de présence d’eau liquide est plus faible. Il est possible d’élargir cette zone d’habitabilité si nous prenons en compte d’autre facteurs comme l’activité tectonique ou la présence d’un effet de serre.

D’après le graphique du document 4, Mars se trouvent dans la zone habitable de notre système solaire, cela veut dire qu’il est possible qu’elle contienne de l’eau liquide, Vénus elle n’est pas entièrement dans la zone il est donc moins probable qu’elle contienne de l’eau liquide, cependant cela ne veut pas dire que la vie y est impossible.

Alors, est-ce que la vie est possible autre part dans l’Univers ?

Si nous pensons que l’eau est nécessaire à la vie, nous pouvons penser que oui. La zone d’habitabilité nous aide à dresser une liste de candidate qui pourrait abriter la vie (si elles contiennent en effet de l’eau liquide.) De plus, l’eau liquide semblerait être présente en dehors de la zone d’habitabilité. En effet, d’après le document 5 des geysers ont été aperçut par la sonde Cassini en 2005 à la surface d’Encelade qui est un satellite naturel de Saturne,

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