Modele Animal Pour La Recherche
Étude de cas : Modele Animal Pour La Recherche. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ivypaiz • 16 Mai 2015 • Étude de cas • 462 Mots (2 Pages) • 658 Vues
La recherche médicale en génétique doit-elle se faire sur des modèles humains ou sur des modèles animaux
(•Que qualifie-t-on d’expérience sur animaux ? )
•Quels est l’avantage de faire des expériences sur des modèles animaux ?
Dans le domaine de la recherche médicale en génétique des animaux spécifiques ont été choisi pour réaliser leur expérience pour des raisons spécifiques. Il faut que ces animaux puissent vivre dans un laboratoire sans grande exigence envers son environnement. Ils doivent aussi se reproduire et se développer de manière rapide dans le but de mener des expériences sur un court terme et de pouvoir obtenir des résultats plus rapidement. L’expérimentation sur les animaux est principalement un gain de temps.
•Quels animaux sont utilisés ? Pourquoi ?
“Le Caenorrhabditis elegans [1 mm]
Ce ver nématode, Caenorrhabditis elegans, vivant dans la terre mesure un millimètre et a une durée de vie de 20 jours. La durée de son développement étant courte et le nombre de ses cellules étant faible (le ver est constitué de 959 cellules) font de lui un organisme modèle très apprécié. De plus, ce ver est transparent ce qui permet une observation microscopique facilitée des cellules isolées et des organes de l'animal vivant.
La mouche du vinaigre (Drosophila melanogaster, drosophile) [3 mm]
La mouche du vinaigre ou drosophile est depuis bientôt 100 ans un animal de laboratoire apprécié des généticiens: les drosophiles sont petites, faciles à cultiver, elles passent d'oeuf à mouche en 10 jours et se reproduisent rapidement. Initialement, elles furent utilisées dans la découverte des lois de l'hérédité et durant les 40 dernières années, elles furent avant tout au service de l'étude d'une des questions prédominantes en biologie: «Comment un organisme complet peut-il être issu d'une cellule unique?» Les défauts génétiques induisant des troubles dans le développement ont permis de repérer les gènes qui contrôlent ces procédés. Grâce au décryptage du patrimoine génétique de la drosophile et de l'être humain, on découvrit que le développement de la drosophile et de l'être humain sont dirigés par des gènes très similaires.
Le poisson zèbre (Danio rerio) [4 cm]
Pourquoi les chercheurs ont-ils opté pour les poissons zèbres? Ils sont légers, on peut les garder en grand nombre et ils se reproduisent rapidement. Leur développement rapide va permettre de signaler les modifications de leur patrimoine génétique en l'espace de peu de temps. Un jour après la fécondation, tous les organes essentiels sont déjà mis en place et la larve sort deux jours plus tard. En outre, les descendants sont transparents à quelques détails près de telle sorte que les différentes étapes de leur développement peuvent être observées sans grand investissement. Tous les vertébrés, l'être humain inclus, ont de nombreux points communs et les connaissances acquises grâce au poisson zèbre peuvent souvent être transférées à l'être humain.
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