Étude de l'entreprise Parfumemoi.ma

Sommaire :

REMERCIEMENTS : 1

SOMMAIRE : 2

INTRODUCTION 3

I. PRESENTATION DE L’ENTREPRISE : 4

II. LE MARCHE : 5

III. L’ETUDE TECHNIQUE : 14

IV. ETUDE JURIDIQUE : 19

V. ETUDE FISCALE 21

VI. ETUDE FINANCIERE 23

CONCLUSION 27

Introduction :

Empreinte personnelle, signe d'appartenance sociale, de séduction, mais aussi nécessité d'hygiène, sentir bon est important. Le parfum véhicule beaucoup de codes de la société moderne. Il est de plus en plus prisé par le consommateur et se démocratise. Les Marocains sont chaque jour plus nombreux à se laisser séduire par les parfums signés et ce ne sont pas que des consommateurs nantis, contrairement aux idées répandues.

C’est la raison pour laquelle nous avons pensé à un projet de création d’un site marchand « Parfumoi.ma » qui, verra le jour afin de rendre l’achat de parfums en ligne au Maroc possible.

Au premier abord, l’idée semble intéressante vu que le marché du parfum au Maroc est un marché en plein essor mais jusque là anarchique, notre projet viendra donc garantir la réussite rapide et sans encombre de la vente et la mise à disposition des parfums de marque au consommateur.

 La problématique posée

Dans un secteur en plein essor mais jusque là anarchique, notre projet viendra répondre à une demande de plus en plus croissante et des clients de plus en plus avertis, ce projet consistera donc en une parfumerie en ligne qui garantira la disponibilité d’une panoplie de parfums de luxe.

« Un parfum, c’est comme une nouvelle robe. Il vous rend tout simplement merveilleuse. »

[Estée Lauder]

Présentation de l’entreprise :

1. Fiche signalétique

Raison sociale

Parfumemoi.ma

Forme juridique

SARL

Activité

Vente de parfums en ligne

Siège social

40, bvd Baghdad, Aïn Chok

Nombre d’associés

3

Capital social

300 000 Dhs

Superficie d’exploitation

62 m2

Effectif permanent

3

Année de démarrage

2014

2. Objet social :

La société a pour objet la vente de parfums en ligne.

3. Les associés :

Melle Salma BENDAMOU, marocaine, né le 13 Mai 1991, CIN N° BE 838 262, demeurant à Casablanca,

Melle Afaf KHAICH, marocaine, née le 27 Août 1992, CIN No Wa 186 020, demeurant à Casablanca,

Melle Fatima Zahra GHAIDI, marocaine, née le 20 Juillet 1991, demeurant à Casablanca CIN No BE 844 406,

I- Le marché du parfum au Maroc :

1) Généralités

Surprendre, étonner, voire déranger. Pour faire naître le désir et combattre le risque de banalisation – 450 lancements ont lieu en moyenne chaque année depuis dix ans –, le parfum se fait toujours plus inventif dans les jus, l’emballage, l’approche marketing, les circuits de distribution, mais aussi plus sélectif pour entretenir le rêve. Les clients sont en attente de fragrances plus personnelles, de packagings plus « couture », de lancements plus étonnants, d’icônes plus chics, d’une distribution plus élitiste.

Seuls les produits qui réunissent ces conditions seront en mesure de se hisser du rang de best-seller à celui de « classique/mythe », dont l’histoire est toujours réinventée dans l’imaginaire de celle (celui) qui le porte.

Le marché est estimé à 250 millions de DH par an. La demande provient aussi bien des particuliers que des entreprises. Les distributeurs réalisent 40% de leur chiffre d'affaires pendant la période de fin d'année.

Un marché porteur, une concurrence accrue. Branle-bas le combat chez les parfumeurs nationaux. Le tiers des produits serait issu des marchés parallèles.

Officiel, insistent tous les interlocuteurs qui soutiennent que la contrebande a la part belle sur le marché. Près du tiers des produits en eaux de toilette et parfums serait issu des marchés parallèles, confirme la Mission économique française dans son étude sur les parfums, réalisée en août 2002. Le marché noir serait responsable de près de 40% de manque à gagner en chiffre d'affaires, avance un importateur. Sur le circuit officiel, toutes les grandes marques sont présentes.

Les importations sont en hausse tendancielle (plus de 72 millions de dirhams en 2002) et l'offre de plus en plus diversifiée. Surtout que, depuis une quinzaine d'années, le Maroc ne peut plus produire sous licence les parfums à cause principalement de la mauvaise qualité de l'alcool traité et des problèmes techniques de fabrication. On recense près d'un millier de parfumeries (toutes choses étant égales par ailleurs) à travers le Royaume. La plupart sont des structures traditionnelles et archaïques.

La distribution n'est pas organisée. L'accès à l'information n'est pas non plus chose aisée du fait de l'absence d'une base de données fiable. “La plupart des parfumeurs sont des structures qui ne sont pas informatisées, d'où la difficulté de l'accès à l'information.

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