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Les technologies et la vie privée

Synthèse : Les technologies et la vie privée. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  14 Septembre 2020  •  Synthèse  •  805 Mots (4 Pages)  •  1 172 Vues

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Les trois documents du corpus évoquent un phénomène qui fait entièrement partie de nos vies : Les technologies numériques. Les trois documents récents de ce corpus nous permettent de mieux comprendre l’influence des technologies numériques sur notre société. Nous verrons donc en quoi les technologies numériques influent sur la vie privée des utilisateurs. En effet, nous montrerons l’intrusion des technologies numériques dans nos vies. Ensuite nous analyserons la réaction des citoyens face à cela.

D’abord, le corpus nous permet de constater que les technologies numériques se sont introduites dans nos vies.

En effet, les technologies numériques ont instauré une surveillance extrême des utilisateurs. Ainsi, Catherine Segal explique dans son article « Avons-nous encore une vie privée » du bi-menstruel Clés en aout-septembre 2011, que les technologies numériques sont un moyen de nous épier, elles font parties de notre vie et pénètrent notre intimité en sauvegardant nos informations personnelles. Georges Dupuy confirme les propos de Catherine Segal dans un article de presse « Souriez, vous êtes fliqué » dans l’hebdomadaire Marianne du 11-17 juin 2011. Selon Georges Dupuy le phénomène des nouvelles technologies est surtout présent depuis les années 2000. Cette génération est donc née en au moment de l’essor de ce phénomène. Depuis, les technologies numériques sont rentrées dans les mœurs. Phillipe Geluck dans son dessin satirique « Les nouvelles vont vite » du le meilleur du Chat en 1993 montre ainsi que nos données personnelles sont collectées en permanence. Il est donc facile aujourd’hui de savoir des éléments sur notre vie privée ou encore de savoir notre localisation.

Ensuite, les deux documents de presse s’accordent sur le fait que l’intimité dans la société est une notion totalement redéfinit par les outils numériques. Catherine Segal évoque les conséquences sur le fonctionnement de la société. En effet, notre notion de l’intimité a changé aujourd’hui des éléments de notre vie avant considérés comme privés sont diffusés notamment à cause des réseaux sociaux ou une partie de la société expose ses données personnelles. C’est donc la barrière entre notre vie privée et notre vie publique qui a disparue. Ainsi, Georges Dupuy vient confirmer cette analyse en précisant que la généralisation de la surveillance à façonner notre société.

Toutefois, notre société n’est pas réactive face à l’intrusion des technologies numériques dans notre société.

Effectivement, face à cela les citoyens ne réagissent pas. En effet, la société semble accepter sans sourciller cette évolution. Ainsi, selon Catherine Segal la société ne se manifeste pas et reste impassible face à cette surveillance. Georges Dupuy constate une absence de réaction de la part de la société comme si elle était indifférente de la gestion de leurs informations personnelles. Il signale également le manque d’inquiétude des utilisateurs face à ce phénomène. Enfin, Phillipe Geluck démontre cette indifférence à l’aide de son dessin satirique du chat qui affiche une expression neutre face à cela.

De plus, cette acception est dû à la dépendance aux technologies numériques. Effectivement, nous sommes aujourd’hui dépendants aux

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