La révolution Ne Sera Plus télévisée, Internet, Information Et démocratie

Dans « La révolution ne sera plus télévisée, Internet, information et démocratie », extrait de la revue Pouvoirs n°119 datant de 2006 de Thierry Vedel, Vedel explique que les forums permettraient aux citoyens de s’exprimer librement et dans l’anonymat sur des sujets susceptible de devenir des discussions polémiques. Thierry Vedel précise aussi que grâce aux blogs, certains sujets présentés par les médias traditionnels sont soumis à des critiques. Cette concentration de critique peut prendre une ampleur dé mesurable et entrainer un changement d’avis de la part des médias traditionnels.

Dans l’article, « Les révolutions arabes sont-elle des révolutions 2.0 ? », extrait du journal Le Monde du 21 février 2011 de Remy Ourdan, ce dernier explique que grâce au réseau social Facebook, un jeune homme a pu créer une page au nom d’un militant torturé et battu à mort, dénonçant ainsi les abus de pouvoir et de la police Egyptienne. Cette page a ensuite été la source de la mobilisation des militants égyptiens contre le pouvoir en place (mobilisation du 25 janvier). Ainsi le réseau social aurait permis de déclencher une révolution pour l’instauration de la démocratie.

Dans l’article « L’Iran restreint l’utilisation des messageries étrangères », extrait de Le Monde du 14 avril 2012 avec l’Agence France Presse, cette dernière explique la mise en place d’un « Internet iranien » qui vise à sécuriser les communications en les rendant indépendantes de tout opérateur étranger.

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Internet dans la démocratie pose la question des limites. On peut se demander quelles sont ces limites ?

Dans l’article « L’Iran restreint l’utilisation des messageries étrangères », extrait de Le Monde du 14 avril 2012 avec l’Agence France Presse, le ministère des télécommunications iranien a interdit aux banques, aux compagnies d’assurances et aux opérateurs téléphoniques tout recours à des messageries étrangères pour leurs échanges de courriers électroniques. Il a ordonné l’utilisation de noms de domaines iraniens se terminant par « .ir ». Le ministère limite l’accès au site web afin

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