Texte d’introduction générale

Exercice 1 : Texte d’introduction générale

1. L’économie et le travail

Question : En vos propres mots, expliquez la distinction entre le marché libre et le marché dit contrôlé?

Le terme marché libre était principalement utilisé jusqu’au début des années 1900. Ceci étant dit, il se décrivait par l’établissement de prix variant en fonction de  l’offre et la demande qui était demandée par les consommateurs. En d’autres mots, le libre marché était pris en charge par des facteurs internes et la concurrence (rivalité des producteurs face à un même produit) mettait de l’avant la valeur des produits; mis en application par l’offre et la demande.

De nos jours, le marché est contrôlé, car il est contrôlé par des administrations diverses, voire les entreprises.  Le marché contrôlé est en quelque sorte règlementé par son environnement. Il n’est plus libre et doit se soumette à des règles qui déterminent en partie certaines de ses opérations.

La principale distinction se trouve par la prédéfinition des couts dans le marché dit contrôlé. Le prix dans un libre marché peut varier en  fonction de l’acheteur et du vendeur. Bien que ce soit le cas dans un marché contrôlé, un barème de prix est souvent établi.  Aussi, il y peu d’intervention des pouvoirs publics dans le libre marché inversement au marché contrôlé.

1. L’individu et les mouvements sociaux

Question : En vos propres mots, expliquez la distinction entre l’intégration des immigrants et leur ghettoïsation?

L’intégration des nouveaux arrivants se résume par un mélange de divers éléments. En effet, le nouvel arrivant doit être en mesure d’assimiler la langue de sa culture d’accueil. L’autre élément qui doit y être mélangé est son implication à l’intérieur de sa terre d’accueil. À l’intérieur de cet élément, il faut tenir compte de sa motivation à se trouver un emploi, à se créer un réseau social et de s’intéresser à la politique nationale et provinciale.  Bref, l’intégration des nouveaux arrivants se définit en mettant en place des éléments facilitant le sentiment d’appartenance à la culture d’accueil.

Si ces éléments ne sont pas mis en place, il est possible qu’il se crée une ghettoïsation au sein des immigrants. Par ghettoïsation, on entend l’isolement des immigrants dans un quartier fréquenté par les gens de leur culture d’origine et peu de participation dans la vie sociale extérieure. Cet élément crée de l’intolérance et des inégalités au sein de la société.

À la lueur des informations ci-hautes,  la distinction à retenir entre l’intégration des immigrants et leur ghettoïsation, se révèle dans l’exclusion. En effet, la ghettoïsation mène à l’exclusion des nouveaux arrivants qui vont aller rejoindre leurs pairs dans un endroit précis, ce qui rend plus ardu l’intégration. De ce fait, l’appartenance à la culture d’accueil résulte aussi en tant que distinction puisqu’elle sera difficile à se réaliser si l’intégration ne se fait pas.  

1. La politique et l’État

Question : En vos propres mots, expliquez la distinction entre les causes internes et les causes externes de la remise en question de la nation comme cadre privilégié de la vie démocratique

Les causes internes sont celles qui appartiennent directement à l’individu. À titre d’exemples, nous pouvons noter leur groupe culturel d’appartenance et des manifestions qui ont un impact sur la liberté individuelle. Tous ces éléments peuvent nuire ou restreindre l’identification personnelle. À l’opposé, les causes externes reflètent des impacts davantage de masse : la mondialisation, l’économie, la politique, la culture. C’est davantage un impact sociétal, qui implique tous les citoyens d’un pays et dans lequel ils doivent y prendre position afin de pouvoir en faire partie et s’y sentir inclus.

De ce fait, les causes internes représentent le poids d’un individu et sa position individuelle dans la société. C’est ce qui en fait la principale distinction puisqu’à l’opposé les causes externes sont vues comme la vision de plusieurs aspects qui permettent d’avoir une vision globale d’une société et de ses aspects importants.  

1. Les médias et les communications

Question : En vos propres mots, expliquez la distinction entre le pouvoir qu’assure le contrôle des médias et le pouvoir de leurs artisans?

Le pouvoir des médias varie selon qui contrôle l’information, mais il est important de mentionner que leur pouvoir reste toutefois puissant. Prenons l’exemple d’un régime totalitaire, les médias sont la liaison entre le peuple et le parti au pouvoir. Le régime voulant l’unification de la population,  il a le monopole et le pouvoir absolu des médias, leur laissant aucune notion de pouvoir. D’un autre côté, un régime davantage libéral, utilise les médias de manière différente. Il leur laisse une certaine autonomie qui diffèrera selon le parti au pouvoir. Bref, le pouvoir des médias existe, mais il n’est pas total puisqu’en aucun temps ils pourraient tenter de nuire les instances qui les financent ou les détiennent, principalement l’État,

Le pouvoir de leurs artisans est aussi celui des journalistes. Leur pouvoir d’influence est ambigüe. Il est modifié selon la personne elle-même qui peut nier son influence ou encore tenter d’en abuser.  Le type de média pour lequel l’artisan travail peut toutefois avoir un impact sur son influence; blog, journal réputé, nouvel auteur, ..  Il est toutefois rare qu’il occupe une place significative dans les médias reconnus par l’État.

Il est donc possible de noter que la principale distinction est le pouvoir qui leur est accordé. Les artisans n’ont pas le même impact au niveau pouvoir puisque c’est les médis qui contrôle ce qui sera vu par la population. De ce fait, l’artisan doit s’adapter et veiller à donner de l’information juste afin qu’elle soit présentée dans les médias sociétaux.

Exercice 2 : Huit textes thématiques présélectionnés

Domaine : L’économie et le travail

Premier thème : Le travail dans l’économie du savoir

Texte retenu : Partenariat, avec ou sans ressources, de Paul-André Lapointe

1 a) L’auteur parle de formes de démocratie « anciennes » et « nouvelles » au travail (pp.246-247). Expliquez ces deux formes (2pts)

Les formes anciennes de démocratie sont issues du taylorisme et du fordisme. Elles se caractérisent par l’exclusion des salariés dans l’organisation régulière. Le syndicat se voit aussi subir une exclusion dans la participation à la gestion. Dans cette forme de démocratie, il y a donc peu ou pas de distribution du pouvoir.

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