Le Coronavirus se propage-t-il facilement à travers toutes les classes sociologiques?

Initiation à la sociologie

Le Coronavirus se propage-t-il facilement à travers toutes les classes sociologiques?

Statut socioéconomique

Les moins aisés de la classe sociale ont beaucoup de mal à vivre durant la pandémie, souvent dans les rues, on remarque des itinérants qui ne peuvent pas se confiner en raison de leur situation financière, comme devoir aller travailler dans une zone à risque avec beaucoup de personnes, il est impossible de faire un travail à distance en ayant un emploi mal rémunérer comme épicier et cuisinier. Il y a même certains qui n’ont pas d’endroit où se loger alors ils dorment dehors dans des endroits sales sans produits sanitaires. La plupart des démunies n’arrivent même pas à récolter plus de 400 dollars pour l’urgence actuelle, ils préfèrent utiliser leur gagne-pain pour payer le loyer et remplir leur ventre que d’acheter des objets essentiels pour contrer le virus. Face aux règles strictes de confinement, les préjugés se rassemblent malgré l’interdiction ce qui propage davantage le virus. Sans oublier la situation de crise dans les quartiers nécessiteux. Si l’on prend par exemple Montréal-Nord, un quartier assez démuni, il y a eu une réelle crise de cas de COVID. Dans ce quartier, car les gens, ne pouvant pas se payer un logis adéquat, se doivent de cohabiter dans des blocs qui abriter donc plusieurs groupes de personnes dans un endroit exigu ce qui favorise, logiquement, la propagation du virus. Chez les plus aisés de la classe sociale, on peut observer un faible taux de contamination par rapport aux moins aisés, ceci s’explique par les moyens que ces gens ont pour débourser tout le nécessaire à la survie et à la propagation du virus. Aussi, les plus aisés peuvent se permettre de se confiner et de quand même faire leur gagne-pain, contrairement aux moins aisés. Pour continuer, les personnes de classes supérieures ont 6 chances sur 10 de pouvoir exercer leur emploi à distance et l’école pour les plus jeunes se fait en ligne chez eux. Lors d’une contamination, ces chanceux ont souvent un accès médical plus rapide en raison de leurs moyens plus importants.

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Faire partir d’un groupe racisé durant l’épidémie

Afro-américain

Un des quartiers les plus défavorisés du Québec est entre autres Montréal-Nord qui regroupe beaucoup d’immigrants, la majorité est de couleurs noires. Depuis le début de l’épidémie, ces gens de couleurs noires sont pointées du doigt pour être contaminé en raison de leur pauvreté, les villes ne leur prennent plus en considération lors des calculs de statistique et ont également exclu ces minorités de la liste des populations vulnérables au nouveau Coronavirus, car ce sont les habitants de quartier défavorisé les premières victimes du virus, ils se rassemblent pour travailler dans des milieux les plus exposés au virus.

Autochtones

Les autochtones sont directement un sujet à aborder sur l’épidémie, leurs conditions de vie dans les réserves surpeuplée et insalubre font en sortes qu’ils sont beaucoup plus à risque et que nous les généralisons déjà à cause de leur pauvreté.

Asiatique

Les asiatiques sont directement accusé et se font discriminer depuis le début, sur le réseau social Facebook, il y a même une page consacrée pour leur aider à ne pas se déplacer seul.

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Le Coronavirus agit-il de la même façon pour les personnes de différents âges?

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