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Économétrie

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Par   •  22 Septembre 2015  •  Cours  •  474 Mots (2 Pages)  •  573 Vues

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Définition de la politique de change

La politique de change représente l’ensemble des décisions et des interventions des autorités monétaire sur le cours de change, afin d’atteindre les objectifs tracés ainsi que la réalisation des équilibres macroéconomiques interne et externe, afin de rendre les politiques économiques plus performants, les états peuvent avoir le soutien de FMI, dont le rôle est d’aider les pays qui présentent des difficultés à défendre leur régimes de change

Les principales décisions à prendre en matière de politique de change concernant le choix de régime de change et le degré de mobilité des capitaux. Dans un régime de change flexible, les autorités monétaires doivent décider si elles essaient de gérer le taux de change en tentant d’influencer sa valeur ou bien elles fluctuer librement.

5-3-1 mobilité du capital et choix du régime de change

Selon le modèle de mundell-fleming l’efficacité des politiques de stabilisation dépend à la fois du degré de mobilité des capitaux et du régime de change.

lorsque les capitaux sont mobiles et en régime de change flottant , la politique monétaire est plus efficace que la politique budgétaire.une baisse du taux d’intérêt voit son impact renforcé par l’ajustement du taux de change : une dépréciation de la monnaie nationale est susceptible d’élever le niveau de la production .c’est le canal de externe de la politique monétaire .en revanche la politique budgétaire expansionniste , dans la mesure ou il conduit à une elle conduit à une hausse de taux d’intérêt « effet d’éviction » a un effet stabilisateur médiocre voir nul, car la monnaie nationale s’apprécier :la demande publique se substitue à la demande extérieur nette au lieu de d’y ajouter.

En régime de change fixe c’est l’inverse : une expansion budgétaire est amplifié par les entrés de capitaux , qui alimente l’accumulation des réserves de changes et « en l’absence de stérilisation »ont pour contrepartie une création de la monnaie nationale , en revanche une expansion monétaire est inefficace , puisque il entraine une baisse des taux d’intérêt qui conduit à des sorties des capitaux et à une diminution des réserves de change avec pour contrepartie « en l’absence de stérilisation » la destruction de la monnaie nationale .

Ces résultats ont des conséquences très fortes sue les arbitrages relatifs aux régimes de change, à la mobilité des capitaux et aux politiques de stabilisation. Lorsque les capitaux sont très mobiles et en régime de change flottant, l’instrument le plus efficace pour la stabilisation macroéconomique est la politique monétaire .à l’inverse un régime de change fixe, avec forte mobilité des capitaux, contraint la banque centrale à consacrer la politique monétaire à la défense de taux de change. La stabilisation macroéconomique revient donc à la politique budgétaire.

En résumé, politique monétaire autonome, stabilité du taux de change et mobilité parfaite des capitaux ne peuvent être réunies. C’est le triangle d’incompatibilité de mundell

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