Xerox, le bechmarching
Étude de cas : Xerox, le bechmarching. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ok4s • 20 Mars 2013 • Étude de cas • 401 Mots (2 Pages) • 847 Vues
Le benchmarking (étudier ce que font les autres pour copier les meilleures méthodes) a été l’une des armes les plus efficaces pour Xerox. Ils ont pu grâce à ce procédé acquérir des techniques managériales et commerciales très perfectionnés. Le bencharming concerne donc aussi bien les salariés qui doivent subir le management imposé par la direction mais aussi les clients qui profitent de l’amélioration de l’offre proposé par l’entreprise (en matière de délais par exemple).
Les commerciaux de Xerox sont particulièrement bien formés et maitrisent une procédure déterminé, particulièrement efficace qui consiste à pousser le client à exprimer un besoin insatisfait ou dormant qu’il aurait afin de lui proposer des réponses adaptées que l’entreprise pourrait lui fournir. C’est par ce procédé que l’entreprise est devenue une référence dans le domaine de la vente.
De plus, pour les entreprises confier à un autre acteur comme Xerox, ses données confidentielles afin de les numériser est un acte délicat, qui ne peut être accompli que si le partenaire a une confiance totale en l’autre. Or c’est une activité de services, ce qui signifie que la collaboration peut s’arrêter n’importe quand, c’est pourquoi Xerox veille à fournir la meilleure qualité de services possible afin de conserver ses clients.
Xerox étant leader sur ce marché, prouve son sérieux et sa qualité ce qui lui permet aussi de démontrer à des prospects qui hésitaient à externaliser leurs processus de numérisation, de leur faire confiance.
Depuis quelques années, Xerox a compris l’intérêt d’investir pleinement dans des actions de RSE comme le recyclage, la diminution de la consommation d’énergie ou encore en faisant de la parité dans son entreprise une priorité. Cela-lui a permis de renouveler son image auprès des leaders d’opinions et du grand public. D’une entreprise polluante et impitoyable avec ses employés, elle a désormais la réputation d’œuvrer grandement en faveur de l’environnement et de se montrer plus juste avec ses équipes. Cela a beaucoup fait parler (positivement) de l’entreprise et l’a rendu plus attractive créant ainsi un avantage concurrentiel.
L’entreprise américaine a également passé des accords avec des ONG pour élaborer des programmes de protection de l’environnement (création d’un partenariat avec The Nature Conservancy) ou investir dans l’éducation (13 millions dépensés en 2012 par exemple). Cela lui permet de ne pas s’attirer trop d’enquêtes sur ses réelles méthodes de fabrication ou sur ses techniques managériales puisqu’on sait que les ONG peuvent se montrer très virulente et détruire des réputations.
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