Valeur et répartition chez les classiques
TD : Valeur et répartition chez les classiques. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Werner Gassmann • 12 Avril 2020 • TD • 964 Mots (4 Pages) • 447 Vues
DM N°1 : valeur et répartition
Question n°1
Le texte de Ricardo que nos allons analyser est tiré de son œuvre sortie en 1817 : « Des principes de l’économie politique et des impôts », plus particulièrement du chapitre V sur les salaires où il théorise la valeur ainsi que le fonctionnement du facteur travail mais aussi l’impact de celui-ci sur les ouvrier, et c’est de quoi il s’agit dans l’extrait donné. Il y explique que le progrès industriel dans les sociétés occidentales à fait baisser le prix des produit de manufacture et augmenté celui des matières premières en particulier la nourriture, ce qui, au fil du temps, a généré une disproportion de valeur entre les deux différents produit. Dans une première partie nous allons définir « les progrès de la société » de Ricardo et ensuite distinguer les différents termes de l’extrait notamment entre « articles manufacturés » et « matières premières ». En deuxième partie, nous tenterons d’expliquer comment s’opère la baisse des articles manufacturé et la hausse des matières de première nécessité.
Les progrès de la société désigne, dans ce cadre-là, les évolutions techniques, logistiques et pratiques dans la fabrications de biens de consommation. Nous sommes à l’époque de Ricardo en pleine révolution industrielle il s’agit alors de l’expansion des produits de manufacture au seins de nos sociétés occidentales ainsi de la naissance d’une toute nouvelles gestion de l’économie. Les matières première dont fait référence dans son texte sont les matières provenant de la terre presque directement avec peu de valeur ajoutée et les articles manufacturés sont ceux nécessitant une fabrications humaines.
C’est lors de la révolution industrielle qu’apparaitra la division du travail. Celle-ci a permis de baisser de manière drastique le prix des articles manufacturés. En effets, grâce à cette méthode de production qui divise la fabrication d’un bien que l’on peut désigner comme complexe, lorsqu’il est fabriqué à l’aide d’un individu, mais une fois divisé en un grand nombres de petites tâches d’une grande simplicité opérés par plusieurs ouvriers, cela permet d’accélérer radicalement la production et ainsi réduire drastiquement de coût de production et donc le prix de vente. Cependant, les matières de premières nécessitées proviennent directement du sol, sur lequel chaque producteurs doit payer une rente au propriétaire des terres. Celle-ci est établie lorsque la demande croît et qu’il faut, en conséquences, user d’un espace de production plus grand. A force d’accroissement, le seuil de quantité de terre de bonne qualité se rapprochera et pousserons les producteurs à cultiver des terres d’une qualité inférieur nécessitant plus de travail pour arriver à la même quantité de production. La rente sert alors à refléter le prix naturel d’un bien, c’est-à-dire la quantité de travail nécessaire à la production de ce bien, en instaurant une équité entre les différents producteurs, autrement dit, ce n’est pas la rente qui fait augmenter le prix des matières première mais la différence entre la quantité de travail consacré au culture sur les terres les plus fertiles et les moins fertiles. Ce qui explique alors la hausse des matières premières et non des produits manufacturé car ceci ne dépende pas d’une rente mais seulement du capital utilisé à la fabrication d’un bien.
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