SES Devoir 2

Partie 1 :

1. L'équilibre emplois-ressources nous donnes comme information la somme du PIB et des importations, qui sont les ressources du pays, et la somme des consommations finales, des investissements, des variation de stocks et des exportations, représentant les emplois du pays.

2. Pour obtenir la plus grande productivité possible, le producteur se doit de choisir la combinaison de facteurs de production la plus optimale (en fonction des couts du travail et du capital) et aussi prendre compte du coût marginal de production (production rajouté par la dernière entité ajouté). Lors de l'augmentation des quantités produites, le coût moyen diminue grâce à une meilleure répartition des coûts fixes, avant de réaugmenter à cause de la loi des rendements décroissants. Ainsi le coût marginal de production ne doit pas dépasser la recette marginal, point ou le rajout d'une nouvelle entité de production engrange des pertes. Ainsi pour obtenir la productivité la plus grande possible, le producteur doit obtenir la balance la plus optimale du travail et du capital ainsi qu'un équilibre entre le coût marginal et la recette marginale avec la dernière entité introduite.

Partie 2 :

Le document est un tableau représentant l'évolution du nombre de grêves entre 2012 et 2014, selon le secteur d'activité ou se trouve l'entreprise concernée ainsi que la taille de celle-ci. Nous remarquons qu'entre 2012 et 2014, il y a eu une augmentation du nombre de grève dans le secteur de l'industrie, passant de 2,6% des entreprise à 3,3%, ceci est encore plus prononcée pour les entreprise spécialisée dans la fabrication de matériel de transport, passant de 8,8% à 14,3% et aux industries extractives, d'énergie, d'eau et de gestion des déchets et dépollution, augmentant de 2,1% en 2012 à 7,4%. Sinon le pourcentage de grêve dans les autres secteurs de l'industries restent stables, n'augmentant ni ne diminuant pas trastiquement sur la période representée.

Sur le secteur de la Construction, il y a une stabilitée dans l'évolution des conflits dans l'entreprise sur la période donnée, en effet de 2012 à 2014, le pourcentage de grêve passe de 0,2 % à 0,3%. De même dans le secteur du commerce, ou le nombre de conflit ne fait que passer de 0,6% à 0,7 % de 2012 à 2014, notant simplement une legère augmentation des conflits dans le commerce eet la réparation automobile et motocycles, passant de 0,3% à 0,5%, et à une grande diminution après une légère augmentation en 2013 des grêves dans les transports et l'entreprosage, passant de 2,6 % en 2012 à 1,9% en 2014.

De plus du coté du secteur des services, nous remarquons aussi une certaine stabilitée, ne passant que de 1,8% en 2012 à 1,7% en 2014. Nous remarquerons simplement l'augmentation des grêves dans le secteur de l'information et communication, passant de 0,4% à 1,5 % sur la période de 2012 à 2014, de même pour les activités scientifiques et tecniques e les services administratifs et de soutien, passant alors de 0,1% à 1,4 %. Nous remarquerons alors aussi une diminution importante dans le secteur des activités financières et assurance, passant de 6,1% à 2,0% et dans celui de l'enseignment,santée humaine et action sociale, évoluant de 3,0% à 1,9%.

Enfin en ce qui concerne le pourcentage de grêve selon la taille des entreprises, nous remarquerons un maintien général dans l'ensemble, passant simplement de 1,3% à 1,4% sur toute la période, que ça soit dans les entreprises de 10 à 49 salariées à des entreprises de plus 500 salariées, avec une légère augmentation dans les entreprises de 50 à 199 salariées, passant de 2,4% à 2,9% sur la période de 2012 à 2014, ainsi qu'une diminution dans les entreprises de 200 à 499 salariées, passant de 12,3% à 11,5% entre 2012 et 2014.

Pour conclure nous trouverons comme information sur ce tableau une certaine stabilitée en ce qui concerne l'évolution du nombre de conflit dans les secteurs de la construction, du comemrce et des services, mais une certaine augmentation, plus importantes dans certains secteurs spécialisées, du nombre de grêve dans le secteur global de l'industrie, On remarquera aussi que le pourcentage de grêve évolue peu quel que soit la taille des entreprises, sauf pour les entreprises de 50 à 199 salariées, ou elles augmentent légèrement et celles de 200 à 499 salariées diminuant un peu.

Partie 3 :

Il est incroyable de passer qu'il y a une vingtaine d'années, les smartphone n'existaient pas et qu'internet n'était qu'à un état embryonaire, et qu'aujourd'hui ils sont présent à tel point que vivre désormais sans eux en deviendrait impensable, mais cette relation pourraît être considérée comme de la dépendance, encore plus du côté de la jeunesse, ou retirer le téléphone équivaut à une peine de mort pour le concernée, mais est-ce dangereux d'être autant touchée par l'expansion incroyable de ses nouvelles technologies, faut t'il restreindre voir interdire leurs utilisations jusqu'à certain âge. Je vais réflechir sur ce sujet durant la rédaction de ce raissonnement, pensant ainsi aux poids qu'à la famille contre les médias et ce qu'ils peuvent pour leurs enfants ou encore les nouveaux moyens utilisées par le proccessus de socilaisation prmaire, différent selon le milieu social.

Tout d'abord il est nécessaire de comprendre que par rapport aux générations n'ayant pas vécu leurs jeunesses avec cette présense totale des écrans, les nouvelles générations naissent avec celles-ci, et selon les actes de leurs parents, en devient terriblement attaché, devenant alors un avec la personne, aujourd'hui il est impensable de passer une journée sans voir un seul écran, que ça soit par le biais de la télé, du téléphone ou encore de l'ordinateur, avec eux viennent de nouveux moyens de se sociabiliser, avec les nombreux réseaux sociaux (Facebook, Twitter, les forums de discution comme le 15-18 ans et le 18-25 ans) ou même avec les jeux-vidéos remplaçant alors les parties de foots avec les voisins par des parties de jeu avec des personnes se trouvant à des centaines de kilomètres de chez nous. Mais tout cela n'est arrivée que de l'espace de dizaines d'années, et les problèmes amenées par ces nouveaux moyens de socialisation ne sont pas encore pleinement compris, on peut alors se poser la question, comme dans le document 1, si ces médias ne permettent aps une banalisation de la violence,

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