Qu'est-ce que le marche ?
Thèse : Qu'est-ce que le marche ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lol90 • 12 Mars 2015 • Thèse • 2 746 Mots (11 Pages) • 633 Vues
F. De Azevedo/Bac prof. Commerce/Lycée Pierre Lescot
–
Paris 1
er
2
BAC
PRO
Terminale
Commerce
Fiche de synthèse
LE MARCHE ET LE PRINCIPE
DE LA CONCURRENCE
ECONOMIE
DROIT
CH.
1
1°) QU’EST CE QU’UN MARCHE
un marché est un
permettant des transactions économiques.
Les marchés mettent en rapport des et
des
On distingue:
ê
ê
ê
Des
offreurs ou
vendeurs
proposent des
produits ou des
services.
Les demandeurs
ou acheteurs
recherchent des
produits ou
services.
Ü
Ü
Ü
2°) QUELLES SONT LES CARACTERISTIQUES D’UNE
ECONOMIE DE MARCHE
?
Une
présente plusieurs
caractéristiques
:
La plupart des échanges sont réalisés
sur des marchés
(sur lesquels il est possible d’acheter et
de vendre librement).
Des institutions et des règles encadrent le
fonctionnement des marchés.
ê
ê
ê
L’Union Européenne est un exemple
de
zone organisée selon des principes
d’économie de marché.
Institutions
(Union Européenne)
Interdiction
ê
Autorités de régulations
(Commission
européenne, autorité de
la concurrence).
3°) QUEL EST LE ROLE DE LA CONCURRENCE
?
La
est indispensable au
fonctionnement des économies de
marché
La libre concurrence incite les entreprises à
.
ê
ê
ê
Les
consommateurs
peuvent choisir
l’offre qui leur
convient
Les producteurs
peuvent choisir leur
secteur
d’activité
Incitation
Incitation.
Pour les libéraux une situation de «concurrence économique » est souhaitable, car :
Les clients potentiels peuvent choisir entre les différents produits proposés et accessibles et avoir un plus grand choix de produit à meilleurs prix.
La concurrence favorise l’adaptation permanente entre offre et demande : les agents économiques peuvent utiliser leur raison. « La concurrence est ce qui oblige les gens à agir rationnellement.»1
Elle est la source du juste prix : « c’est la concurrence qui met un juste prix aux marchandises, et qui établit les vrais rapports entre elles » (Montesquieu2).
D'autres écoles insistent sur la concurrence comme processus d'innovation (Friedrich Hayek3) ou de destruction créatrice (Joseph Schumpeter).
Les divergences entre libéraux
À partir de la fin du XIXe siècle, des économistes — pourtant acquis à l'économie de marché — ne vont plus voir la concurrence comme dépendante d’un état de nature :
« Pour les libéraux d’ancienne observance, la liberté est pour l’homme l’état de nature. Pour le néolibéral, au contraire, la liberté est le fruit, lentement obtenu et toujours menacé, d’une évolution institutionnelle… À l’opposé de Rousseau, il pense que la grande majorité des hommes est née dans les fers, dont le progrès des institutions peut seul la sortir…. Libéraux et néo-libéraux ont une foi égale dans les bienfaits de la liberté. Mais les premiers l’attendent d’une génération spontanée…. alors que les seconds veulent la faire éclore, croître et se développer, en la rendant acceptable et en écartant d’elle les entreprises qui tendent constamment à l’annihiler4. »
Il s'agit d'une vue totalement différente de l’évolution des sociétés humaines que Jacques Rueff appelle un « marché institutionnel »[réf. nécessaire], fait de normes juridiques dépendantes de théories économiques (lois et économie) que des organismes quasi-judiciaires de contrôle sont chargés de faire respecter dans le cadre de politiques de la concurrence. Ils veillent en particulier à éviter
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