Nisbet
Lettre type : Nisbet. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 17 Novembre 2013 • Lettre type • 650 Mots (3 Pages) • 489 Vues
Robert Nisbet a lancé la théorie de l'apparition de la societé, et de l'évolution des concepts fondamentaux de cette discipline. Les phénomènes déclencheurs de la sociologie ont été la naissance des formes moderne du libéralisme, du conservatisme et du radicalisme.
Donc tout d'abord il dit qu'elle est due, selon lui, aux deux révolutions que la france subit a la fin du 18e et durant le 19e siecle.
La premiere cause de ces grands changements est la révolution industrielle donc politique (grace la a révolution française)
Et la seconde révolution que nous allons aborder est la revolution démocratique, celle ci est plus intellectuelle (grace a la philosophie du siecle des lumières). Celles-ci ont avant tout profondément modifié le paysage économique, politique et social en France du fait d'une remise en cause de tous les fondements qui régissaient la société jusque là (...)
Donc tout d'abord Les thèmes issus de l’industrialisation
Pour Nisbet, les diverses traditions conservateurs, libéraux, radicaux se rejoignent bien souvent dans l’analyse de la révolution industrielle, dans l’analyse du « modèle anglais » La tradition sociologique retiendra de la révolution industrielle cinq aspects : « les conditions de vie et de travail des ouvriers, le changement de nature de la propriété, la naissance des cités industrielles, les découvertes technologiques, et enfin l’organisation du travail ».
IL dis aussi que les conditions de travail se détériorent « pour les radicaux comme pour les conservateurs, la caractéristique la plus fondamentale et la plus choquante du nouvel ordre social était sans aucun doute la détérioration des conditions de vie et de travail des ouvriers, ainsi que le fait que le travail se soit brutalement trouvé arraché au cadre protecteur de la corporation, du village, et de la famille. » (p.41)
Cette affinité entre conservateurs et radicaux se retrouve aussi à propos du problème de la propriété privée : cette affinité « apparaît aussi dans l’aversion qu’ils éprouvent pour un certain type de propriété, la propriété industrielle à grande échelle, -et plus particulièrement pour ce type abstrait et impersonnel de propriété que représentent les actions achetées et vendues en bourse. » (p.44)
Sur l’urbanisme « là encore la réalité ne pouvait donc que donner naissance à une thématique opposant au cadre relativement simple et stable des cités closes àù s’organisait la vie urbaine médiéval, et dont certaines gravures gardaient le souvenir les agrégats tentaculaires, sans formes ni limites précises, dont les villes nouvellement apparues (…) offraient le spectacle. » (p.46)
Enfin, au titre de cette révolution industrielle, il faut citer deux thèmes fondamentaux qui feront l’objet « d’affrontements idéologiques au XIXe siècle, à savoir l’impact du progrès technologique et le développement de l’organisation du travail en usine. Pour les conservateurs comme pour les radicaux ces deux phénomènes étaient à l’origine de transformations qui affectaient les relations historiques entre l’homme et la femme et menaçaient (ou promettaient) de sonner le glas de la famille traditionnelle, de transformations
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