Modèle social français
Commentaire d'arrêt : Modèle social français. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 5 Juin 2014 • Commentaire d'arrêt • 1 237 Mots (5 Pages) • 616 Vues
Question 1 :
Le modèle sociale français se décrit comme une certaine forme d’intégration républicaine et de promotion sociale. L’Etat est présent pour soutenir l’égalité en matière d’assurance chômage, de sécurité sociale qui sont deux composantes géré à la fois par le patronat et les syndicaux. L’aspect social prend toute son importance dans le modèle sociale français.
Le système français est très attaché au système de protection sociale, aux institutions éducatives, de formations professionnelles et de redistribution des revenus entre individus. Personne ne doit être laissé à l’abandon les minima sociaux doivent permettre à chacun une vie descente. Le système social français n’est pas comparable aux systèmes mondiaux notamment celui des Etats Unis ou le système est très individualisé. En Europe, c’est surtout les pays scandinaves qui se rapprochent le plus du modèle français, certains sont allée plus loin avec une protection sociale encore meilleur et plus adapter aux contraintes économiques et sociale.
Question 2 :
Le modèle sociale français commence à se fragilisé, les dépenses sont supérieurs aux recettes, un taux de chômage au plus haut depuis deux décennies. Les plus touchés par cette précarité, les jeunes, les femmes, les séniors qui n’arrivent pas à trouver leur place dans la société. Le chômage est un facteur défavorable pour l’économie du pays car il faut indemniser les personnes qui ont perdu leur emploi ou qui ne travaille plus, ce qui entraine des dépenses supplémentaires à l’Etat. Les dépenses en matière de retraite, de sécurité sociale et de minima sociaux sont toujours à un niveau élevé et cela à des effets directs sur la croissance économique du pays.
La mondialisation économique n’a rien arrangé, en effet la libéralisation des mouvements de biens, de capitaux n’a fait qu’aggraver la situation ce qui a engendré une monté de l’insécurité sociale. Les entreprises des pays développés sont incitées à délocaliser dans les pays émergeant ou la main d’œuvre est bon marché, ce qui accentue d’avantage la monté du chômage.
Question 3 :
Après la seconde guerre mondiale, les trente glorieuses offraient à tout le monde un emploi et une bonne protection sociale, les difficultés du modèle sociale français ne se posait pas encore. Mais depuis les années 80, le pays reste dans une croissance économique faible avec un taux de chômage de plus en plus élevé. Les dépenses ne cessent d’augmenter et le système de sécurité sociale est de plus en plus difficile à financer. L’Etat vit au-dessus de ses moyens, il est même obligé d’emprunter pour parvenir à financer les dépenses de la sécurité sociale, des retraites ou encore des allocations chômage. Le système scolaire semble défaillant, chaque année des milliers de jeunes sortent du système scolaire sans aucune qualification et sans perspective de trouver un emploi. Autant de dysfonctionnement qui contribuent à remplir un peu plus le nombre de demandeur d’emploi sur le marché du travail.
Question 4 :
La première des raisons de l’attachement d’une grande majorité de français au modèle sociale en place s’explique par un bon système de sécurité sociale en cas de maladie, d’invalidité, d’accident du travail. Et les français ne veulent pas arriver à un système de protection sociale Américain. Le système de retraite est également un acquit que les français ont beaucoup de mal à laisser tomber, il faut maintenir le système de retraite sur les bases d’une retraite solidaire entre les générations. L’éducation est également un élément important, chacun à le droit de bénéficier d’une éducation et de suivre un cursus universitaire sans payer la formation. Les demandeurs d’emploi sont soutenus pour retrouver rapidement un emploi, un soutien financier est apporté pour que l’individu puisse subvenir à ces besoins. Le modèle sociale français reste profondément sociale, il faut être solidaire des personnes les plus démunies, les plus en difficulté, on ne laisse pas les individus dans une misère totale.
Question 5 :
L’auteur prône pour une plus grande
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