Le Maroc et l'innovation

Le Maroc accorde un grand intérêt à la création d’entreprise et à la concurrence ; deux piliers primordiaux pour chaque pays qui vise une économie de marché. Le principal moteur pour ces deux piliers est la création de PME.

Le Maroc sait que chaque investisseur a besoin d’avoir confiance dans l’avenir pour qu’il puisse investir et innover ; et pour cela il faut pousser le pays vers la démocratie, la promotion des infrastructures, l’équité des chances, le contrôle pour une application plus efficace et transparente de la justice, l’instauration d’une nouvelle constitution tout ceci pour pouvoir assurer une stabilité politique et sociale favorable à l’investissement et à l’innovation. En premier lieu on va parler de la situation politique marocaine. Dans un second lieu on abordera la situation économique et pour finir la qualité des ressources humaines.

Les décideurs politiques ont prit conscience de l’importance de l’innovation et de la technologie dans le nouveaux contexte géoéconomique, qui voit le pays de plus en plus confronté à la concurrence des pays asiatiques, mais aussi de la mise en place d’une zone de libre échange avec l’Union européenne et les Etats-Unis.

Ceci étant, dans les dernières années, le Maroc a multiplié les efforts dans l’amélioration du système nationale de recherche et d’innovation, aussi bien du point de vue de l’attribution de responsabilités, que de la mise en ouvre de réformes politiques et d’instruments pour son développement et promotion.

Au Maroc, la recherche et l’innovation sont gérées au niveau national. En particulier, au niveau politique, l'Académie Hassan II des Sciences et techniques contribue aux réflexions et effectue des propositions pour l’élaboration de la politique scientifique, des programmes de recherche, de leur financement, des modalités de leur réalisation et de leur évaluation.

Par contre, du point de vue de la mise en place de la politique de recherche et d’innovation, la direction de la technologie au sein du Ministère de l’Education Nationale, de l’Enseignement supérieur, de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique (MENEFCRS) est l’un des acteurs le plus impliqué en tant que autorité gouvernementale chargée de la recherche scientifique et technique.

En particulier, il a été chargé du suivi et de l'exécution des décisions et orientations gouvernementales prises par le Comité permanent interministériel de la recherche scientifique et de développement technologique et d’assurer une bonne coordination et encourager la création de synergies entre les opérateurs académiques de recherche et les établissements publics de R&D.

Au niveau national, en outre, une place importante est occupée aussi par le Ministère de l’industrie, qui récemment a changé sa dénomination en Ministère de l’industrie, du commerce et de l’innovation technologique. A ceux-ci il faut aussi ajouter l’OMPIC, organisme sous tutelle du Ministère de l’industrie, dont l’innovation représente une priorité principale. En effet, une « division innovation » sera prochainement crée, tandis que « l’innovation et la veille technologique » constituent, comme on a vu auparavant, l’un des axes principaux de sa stratégie de développement.

De toute façon, afin de traduire les orientations nationales

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