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La théorie des coûts de transaction

Analyse sectorielle : La théorie des coûts de transaction. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  7 Octobre 2013  •  Analyse sectorielle  •  289 Mots (2 Pages)  •  1 004 Vues

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- Les compétences :

- en recherche,

- en expertise,

- en démarche qualité et

- en communication « pédagogique » (diffusion du savoir).

Le savoir et le savoir-faire accumulés permettent de créer une vraie valeur perçue par les clients du CSTB. La compétence clé (ou distinctive) semble bien être le savoir issu de sa recherche, qui permet d’alimenter les autres métiers. D’où l’importance accordée au recrutement de chercheurs (annexe 7) et aux ressources stratégiques que représentent les équipements de laboratoires qui permettent cette recherche.

1. À quel type de stratégie peut-on rattacher l’accord de partenariat avec le CERIB ? Justifiez ce choix au regard de la théorie des coûts de transaction et du modèle des ressources et compétences.

Le partenariat entre le CSTB et le CERIB est un exemple de stratégie d’impartition, c'est à dire une politique de coopération entre plusieurs partenaires disposant de potentiels complémentaires pour concrétiser des synergies latentes.

On acceptera également la réponse de stratégie d’alliance complémentaire.

La théorie des coûts de transaction, développée par Coase et Williamson permet d'expliquer en partie ce choix. Coase et Williamson justifient l'existence de la firme (caractérisée par la hiérarchie) par les coûts de transaction du marché. Dès lors, les organisations recherchent des arrangements institutionnels qui minimisent les coûts de transaction et les coûts de la firme. Williamson va montrer qu'en fonction de la spécificité des actifs, leur fréquence et l'incertitude, les organisations choisissent entre le marché, la firme ou des formes hybrides.

Le partenariat fait partie des formes hybrides entre le marché et la firme. L'intérêt de la collaboration est de permettre des synergies sans avoir l'incertitude du marché, et en évitant la rigidité d'une intégration.

Le partenariat permet aussi au CSTB de mobiliser des ressources et compétences non détenues en interne mais possédées par le CERIB. On peut ainsi envisager une forme d’apprentissage mutuel.

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