La naissance du capitalisme
Analyse sectorielle : La naissance du capitalisme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar maverick278 • 11 Décembre 2014 • Analyse sectorielle • 400 Mots (2 Pages) • 745 Vues
Introduction - La naissance du capitalisme marque une rupture dans le temps long.
Le temps long est ici celui pour lequel on dispose de données statistiques, soit environ deux siècles grâce aux travaux d'historiens économètres, notamment ceux d'Angus Maddison pour l'OCDE. On dispose ainsi aussi de quelques évaluations calculées pour l'an 1, qui permettent de mettre en perspective la période moderne.
1. Le décollage économique de l'Occident
Sur le mode de vie et le niveau de vie de nos ancêtres dans l'Antiquité, on dispose de quelques éléments épars et indirects dans les Grands Livres des principales religions, Bible, Coran, Torah, Upanishad, et dans les écrits des premiers historiens romains (Tacite, Tite Live), arabes (Ibn Khaldoun), perses, Indiens ou Chinois.
Mais pour il nous faut une mesure commune dans le temps pour donner une image comparable interprétable en langage actuel et il s'agit bien sur du produit national ou intérieur brut (PNB ou PIB).
Documents annexes 1 à
Note de méthode : Les graphiques semi-logarithmiques (GSL) sont construits avec un axe horizontal "normal", c'est-à-dire arithmétique : les écarts entre deux valeurs successives de la variable sont réguliers (l'écart entre 1 et 2 est le même que celui entre 9 et 10) ; l'axe vertical est quant à lui logarithmique, construit en utilisant la fonction logarithmique.
Les caractéristiques de cet axe sont particulières : les écarts entre deux valeurs successives s'écrasent lorsque les valeurs s'élèvent ; l'axe ne débute pas à zéro mais à un ; la partie de l'axe comprise entre deux valeurs successives de dix se nomme un module (1 module sur l'annexe 1, 3 sur les annexes 2 et 3).
Les propriétés d'un GSL sont particulières :
* alors que sur un graphique arithmétique (GA) on peut lire directement les écarts et que les pentes correspondent aux variations (en quantités, en nombre, ...), sur un graphique semi-logarithmique les écarts entre deux valeurs ne sont pas proportionnels, ils sont déformés (l'écart entre 1 et 2, situé en bas du GSL, sera plus grand que celui entre 9 et 10, situé en haut du graphique).
* Mais surtout, alors que sur un GA la pente est proportionnelle aux variations, sur un GSL la pente est proportionnelle au taux de variation, elle exprime le taux de variation. Le sens et l'ordre sont cependant préservés : une baisse reste une baisse, la valeur supérieure reste supérieure, même si les écarts sont déformés).
-> Analyse des annexes 1, 4 à 7 : faite en cours.
...