L'entreprise Et L'économie

Introduction

Economie politique ≠ économie domestique (quand un individu gagne, l’autre perd)

Politique économique (résulte de l’économie politique)

Depuis 1776, le terme est l’économie politique

Une entreprise : elle fait des activités, réalise des actions, fabrique, produit des services et biens, elle créée de la richesse. Elle créée des emplois et distribue des salaires elle doit s’organiser

Créer son entreprise c’est créer son emploi

Entreprise = c’est un système finalisé ouvert

Système = organisation, structure, on a une approche systémique

Finalisé l’entreprise, ce sont les fin de l’entreprise, pourquoi la créer, c’est la raison d’être, un idéal

L’entreprise a 5 finalités :

- Financière : c’est à dire la recherche du profit, cette finalité est indispensable et est commune à toutes les E

- Economique : c’est la production et la distribution de bien (satisfaction d’un besoin) et de services : (bien immatériel)

- Sociale c’est la création d’emploi et la distribution de revenu

- Environnementale : c’est la protection de l’environnement (on diminue les effets secondaires, les effets nocifs -> développement économique

- Sociétale c’est liée à la société, l’entreprise est active dans la société, elle a son rôle à jouer dans la société

Ouvert = l’environnement c’est à d le contexte dans lequel se situe l’entreprise

L’ensemble des relations que l’entreprise entretient avec les autres agents économiques. (Entreprises, ménages, l’état, les banques et intermédiaires financiers et le Reste du monde soit l’extérieur de la France).

Problématique : nous constatons que la richesse est au cœur même des définitions de l’économie et de l’entreprise. Le problématique est donc la suivante : l’économie et l’entreprise sont-elles complémentaires ou substituables (on a l’un mais pas l’autre) ?

I. L’école de Harvard

Introduction

Grande université privé américaine économique ; école veut dire un courant de pensée composé d’éléments commun, c’est la réunion d’économiste, de penseurs. L’école n’est pas homogène mais hétérogène. L’école s’étend sur la période 1936-1972. Elle prend appuie sur l’économie de marché en situation de concurrence pure et parfaite. Elle constate que cette économie est idéale et que dans la réalité la concurrence est imparfaite. Conclusion : il faut intervenir par des politiques de la concurrence pour permettre aux marchés de fonctionner.

A. Les fondements

L’école de Harvard prend appuie sur la thèse libérale cette thèse est développé par 2 théories :

- La théorie classique

- La théorie néo-classique

1. Les Classiques

Cette théorie est l’œuvre des économistes suivant :

- Adam Smith (1723-1790) son ouvrage principal publié en 1776 : recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations. L’économie politique est parue à cette année-là.

- Thomas Robert Malthus (1766-1834) anglais qui a publié de 1798 à 1803 : essai sur le principe de population. C’est un économiste pessimiste car ces conclusions sont toujours négatives. C’est un malthusien.

- Jean Baptiste Say (1767-1832) français qui a publié en 1803 : traité d’économie politique.

- David Ricardo (1772-1823) anglais qui a publié en 1817 : principes de l’économie politique et de l’impôt.

- John Stuart Mill (1806-1873) qui a publié en 1848 : principes de l’économie politique. Dernier économiste classique libéral. Il a réussis à synthétiser ce qu’avaient fait les autres. Il est très à la mode aujourd’hui, il prônait l’égalité des hommes et des femmes.

a) Les caractéristiques communes

Ces auteurs partages les mêmes principes

(1) L’adhésion à la théorie de la valeur travail

Ces économistes considèrent que la richesse provient de la plus ou moins grande quantité de travail disponible dans l’économie. La richesse vient de la quantité de richesse du travail. Chaque objet vendu contient un nombre d’heures travaillé. C’est un travail qui est à l’origine de la richesse. Cette conception amène à diviser le travail donc à se spécialiser ce qui aboutit à augmenter la productivité donc la richesse.

(2) Une analyse macro-économique

C’est la science de l’ensemble. Pour les Classiques, l’économie est macro-économique dans le sens où elle doit être analysée en termes de classe social. Pour eux il existe 3 classes : les travailleurs, les capitalistes et les propriétaires terriens ; cela est dû aux 3 facteurs de production : le facteur travail qui est un facteur direct, le facteur capital (machines) et le facteur terre qui sont des facteurs indirects. Les facteurs indirects jouent sur la productivité et non sur la production proprement dite. Chaque classe obtient donc une part du revenu global.

Les travailleurs obtiennent une rémunération que l’on appel minimum de subsistance ou encore taux de salaire naturel. C’est le prix du travail qui fournit aux ouvriers le moyen de subsister et de perpétuer l’espèce sans augmentations ni diminutions. Cela correspond donc au panier de biens que le salaire permet d’obtenir donc cela dépend aussi du contexte social.

Pour les capitaliste, la rémunération correspond aux dividendes c’est-à-dire aux bénéfices redistribués.

Pour les propriétaires fonciers la rémunération est la rente foncière.

(3) L’acceptation du libéralisme

Le libéralisme prône la liberté c’est-à-dire le laisser-faire

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