Facebook En Bourse
Documents Gratuits : Facebook En Bourse. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 1 Mai 2012 • 2 374 Mots (10 Pages) • 1 269 Vues
Nous nous sommes donc intéresser à l’article du Point dater du 8 février de Guillaume Grallet intitulé « Facebook vaut-il vraiment 100 milliards de $. A partir de cette problématique nous nous sommes demandées comment une entreprise pouvait entrer en bourse, quelles en sont les opportunités et les dangers.
Pas la peine de vous rappeler ce qu’est Facebook, cependant il est bon de rappeler que Facebook a été créé en 2004 par Mark Zukerberg, il a généré en 2011 un Chiffre d’affaire de 3,71 milliard de $ en hausse de 50% par rapport à 2010. Son bénéfice net est de 1 milliard d’euro ! 82 % de son bénéficé généré par la publicité, 12% par Zynga, l’éditeur de Jeux Sociaux (Farmville) => 445 millions (Source Le Monde.fr)
Un utilisateur rapporte seulement 5$ à Facebook, bien loin des 39$ par utilisateur pour Google, la raison est simple pour Olivier Ezratty expert en nouveau médias :
« Google et son moteur de recherche auront pendant encore longtemps un avantage clé : ses utilisateurs lui disent ce qu’ils recherchent en temps réel tandis que Facebook doit le deviner. Le ciblage publicitaire qui en résulte est donc explicite pour Google et implicite pour Facebook. Le bon sens dicte que le ciblage de Google est mécaniquement plus efficace que celui de Facebook. Ce d’autant plus qu’il est intégré dans l’interface utilisateur du résultat des recherches tandis que la publicité dans Facebook est généralement située à droite de l’écran, là où l’œil se rend moins souvent.
On peut se demander d’où vient l’argent de Facebook qui a permis de développer l’entreprise :
Essentiellement des entreprises investissant en « Capital Risque » en échant de participation dans l’entreprise. (Microsoft par exemple)
I/ Comment entrer en bourse ou IPO Initial Public Offering en Anglais ?
Quand on s’appelle Facebook et qu’on pèse autant sur l’économie, on fait appel aux meilleurs banquier d’affaires pour pouvoir fournir aux autorités américaine (SEC) le document officiel S1 de demande d’entrée en bourse.(Au passage les banquiers prendront 500 millions de $ de commissions) Ce document nous permet d’obtenir un tas d’information sur la stratégie de Facebook et donc également sur sa valorisation. 75 à 100 Milliards
Qu’est-ce qu’une valorisation d’une entreprise non côté en bourse ?
Cette valorisation est calculée selon des critères plus ou moins objectifs (actifs matériels et immatériels, chiffre d'affaires, résultats, perspectives de développement...) ainsi qu'en s'appuyant sur des comparatifs avec des sociétés équivalentes. Cette approche rationnelle peut-être remise en cause par la simple loi de l'offre et de la demande.
Selon les sources d’ici 2à 12 mois, Facebook pourra prétendre à entrer sur un marché boursier Américain le quel ? Dominique Lamy de Branchez-Vous.com croit savoir que le New York Stock Exchange oule NASDAQ (Marché refuge d’entreprise comme Google ou Amazon et dédier aux nouvelles technologies) font tout pour accueillir le nouveau géant boursier. Les deux portails boursiers ont cependant un point commun: ils souhaitent que l'entrée de Facebook sur l'une ou l'autre des plateformes soit le catalyseur d'un plus grand volume de transactions effectuées quotidiennement de par leur entremise.
PER 75 à 100 => 100 000 000 / 1 000 000
Google à son lancement 130 mais plus petit donc une plus forte capacité à se develloper
PER Apple est de 13 Microsoft 10,9 car entreprise tellement riche qu’elles font peux aux investisseurs (Effet : çà ne peut plus monter)
PER => Capitalisation Boursière / Bénéfice entre 75 et 100
FBI facebook en bourse :
Un timing tardif
Facebook va en Bourse huit ans après sa création, alors qu'en 2004 Google n'avait attendu que six ans. Pendant longtemps, c'est la prise de participation au coup par coup qui a été favorisée. Cela permettait de créer le buzz (prise de participation de 1,7 % de Microsoft en 2007) sans trop diluer la part des fondateurs (notamment Mark Zuckerberg et Dustin Moskovitz). Mais aujourd'hui, plusieurs fonds d'investissement qui ont cru, au début de l'aventure, que ce qui n'était au départ qu'un simple trombinoscope pourrait devenir une machine à cash, aimeraient être rémunérés pour leur prise de risque. Bonne nouvelle : l'entrée en Bourse va aussi récompenser les salariés : un millier d'entre eux, soit près du tiers de l'équipe, devraient devenir millionnaires.
Une audience qui progresse moins vite
Facebook a conquis 845 millions d'internautes fin 2011, contre 680 millions un an plus tôt : il s'agit d'une progression de près de 24 %. D'autre part, 56 % de ses membres se connectent une fois par jour, contre 50 % un an plus tôt. Mais fausse note : la progression du nombre de membres progresse moins vite qu'auparavant : elle était de 6 % au dernier trimestre 2011, contre 26 % au troisième trimestre 2009.
Si Mark Zuckerberg n'a "que" 28 % du capital de Facebook, il a réussi à conserver plus de la moitié de ses droits de vote. C'est une mauvaise nouvelle pour les investisseurs qui voudraient influer directement sur la stratégie de Facebook. Mais cela laisse les coudées franches au jeune P-DG pour mener à bien ses virages stratégiques.
Pour autant, l'histoire courte du réseau Internet est déjà truffée d'exemples de sociétés qui semblaient tout avoir pour consolider leur avance et leur suprémacie, mais qui se sont faites dépasser, et depuis périclitent. Ainsi Netscape et AOL, deux des pionniers du secteur sont presque oubliés aujourd'hui. En 1996, Yahoo! était entré au Nasdaq à 200 fois son chiffre d'affaires. Aujourd'hui le groupe ne vaut même plus 20 milliards de dollars. Et dire que Microsoft avait proposé de l'acquérir en 2008 pour 45 milliards de dollars...
L'énormité de la base d'abonnés de Facebook et l'innovation constante du réseau qui donne à ses fans des raisons de rester dans son univers, représentent des barrières importantes à l'arrivée de prédateurs. Mais sur Internet, rien n'est jamais acquis. MySpace qui avait initialement des années d'avance sur Facebook, l'a appris à ses dépens.L'avenir de Facebook est peut-être
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