Economie du Savoir
Étude de cas : Economie du Savoir. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar spiiva • 7 Mars 2015 • Étude de cas • 438 Mots (2 Pages) • 609 Vues
Introduction
L'économie a changé. En quelques années, une nouvelle composante s'est imposée comme un moteur déterminant de la croissance des économies : l'immatériel. Durant les Trente Glorieuses, le succès économique reposait essentiellement sur la richesse en matières premières, sur les industries manufacturières et sur le volume de capital matériel dont disposait chaque nation. Cela reste vrai, naturellement. Mais de moins en moins. Aujourd'hui, la véritable richesse n'est pas concrète, elle est abstraite. Elle n'est pas matérielle, elle est immatérielle
Economie de Savoir
Les expressions économie du savoir, économie basée sur la connaissance, économie de l’immatériel ou encore capitalisme cognitif désignent ce qui serait une nouvelle phase de l’histoire économique dans laquelle, selon certains économistes, nous somme entré depuis la fin des années 1990. C’est Fritz Machlup qui en 1962, semble avoir posé les premiers jalons de ce que l’on appellera plus tart l’économie de la connaissance, dans son livre the production and distribution of knowledge in the united states.
Notion
L'économie de l'immatériel se fonde sur de nouvelles matières premières : le savoir, les connaissances, la créativité, l'imagination, les technologies de l'information, la capacité d'entreprendre.
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Les TIC sont à l'économie de l'immatériel ce que le développement de l'électricité a été pour le modèle industriel. Elles sont à la fois le moteur du changement mais aussi sa conséquence. Les TIC facilitent la transformation des éléments immatériels (recherche et développement, capital humain) en innovation et donc en croissance.
Par exemple, la commercialisation des biens et services s’est améliorée énormément grâce aux TIC en facilitant leur transaction commerciale via internet, ici le fournisseur peu vendre bien plus qu’il vendait auparavant et sur un segment de marché plus vaste.
En faisant de la matière grise l'un des principaux déterminants de notre croissance future, l'économie de l'immatériel impose de disposer des meilleures institutions permettant de la valoriser. C'est, en conséquence, de plus en plus sur l'efficacité du système d'enseignement supérieur et de recherche que reposera la compétition économique future. Tirant les conséquences de ce lien de causalité, un certain nombre de pays, notamment le Japon, la Chine, l'Inde et plusieurs pays d'Europe, ont fait de la réforme de leurs structures d'enseignement et de recherche une priorité.
L'économie de l'immatériel a ses propres exigences en matière éducative. Cette économie, en faisant de la connaissance sa matière première, augmente les besoins de main-d'oeuvre qualifiée, qui représenteront l'essentiel des créations nettes d'emploi dans les dix prochaines années : elle valorise donc les structures éducatives favorisant l'élévation des compétences et la qualité des formations.
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L'économie immatérielle accélère au contraire la nécessité d'effectuer une transition
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