Cas d'entreprise Vinci

1) Le groupe VINCI possède plusieurs activités qui sont : les Concessions (autoroutes, ponts, parkings), la Construction (Routes, immobilier, …) et l’Energie (dont le génie climatique).

2) Le groupe à une structure divisionnelle, décentralisé, avec un organigramme plutôt horizontal. En effet, le groupe est d’abord divisé en activité (Concessions, Construction et Energie), avec à la tête un directeur chacune. Il existe toute foi un directeur unique de VINCI mais celui-ci n’est pas spécialisé dans une activité donnée. De plus le groupe est présent dans une vingtaine de pays, ce qui fait que la décentralisation est d’autant plus forte.

3) La décentralisation produit des effets sur les mécanismes de coordination et de contrôle. En effet, dans le cas d’une décentralisation, la supervision directe est de rigueur (Un chef de chantier va superviser ses ouvriers, ce n’est pas le directeur de l’activité de construction qui s’en chargera, alors il délègue), de plus il va falloir une standardisation des résultat (Afin de comprendre tout de suite où les objectifs ne sont pas atteins, et facilité ainsi le contrôle), et pour les grades les plus élevé, VINCI se repose sur la standardisation des qualifications (Peu de contrôle des cadres).

THALES (Annexe 5) :

1) THALES à une structure matricielle, car l’entreprise possède plusieurs activités et est divisé par zone géographique.

2) Un entreprise à structure simple peut avoir besoin d’augmenter ses effectifs, de formaliser les règles et méthodes de travail, d’instaurés des règlements et un management, quand elle voit ces ventes et sa production augmenter significativement. Elle est dans une phase de croissance où pour pouvoir tout bien cadrer elle se doit d’installer une structure plus complexe, telle que la structure matricielle par exemple.

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