Cas D'entreprise: TWINGO
Commentaires Composés : Cas D'entreprise: TWINGO. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar hikaucham • 26 Mai 2013 • 861 Mots (4 Pages) • 659 Vues
L’entreprise, à travers son activité, poursuit un certain nombre d’objectifs, leurs
réalisations intéressent non seulement ceux qui interviennent directement dans sa gestion,
mais également ceux qui, d’une manière ou d’une autre, contribuent à son financement. De ce
fait, l’entreprise apparaît donc comme un lieu où se situent des intérêts souvent convergents,
mais parfois contradictoires.
L’entreprise est ainsi amenée à produire un certain nombre d’information répondant
aux diverses préoccupations qu’elle suscite, comme il servirait à rien de disposer
d’information dont la qualité est douteuse, on ne peut dissocier l’obligation de produire des
informations de la nécessité de les contrôler.
Fondamentalement, l’audit est l’activité qui applique en toute indépendance des
procédures cohérentes et des normes d’examen en vue d’évaluer l’adéquation et le
fonctionnement de tout ou partie des actions menées dans une organisation par référence à des
normes.
Autrement dit, l’audit est une critique qui permet de vérifier les informations données
par l’entreprise et d’apprécier les opérations et les systèmes mise en place pour les traduire.
A l’audit correspond donc un besoin de contrôle que l’on peut difficilement dissocier
de l’audit économique. Si l’on recherche dans l’histoire les premières manifestations de
l’audit, il semble qu’il faille remonter à l’origine des civilisations.
Au III siècle avant J.C, les gouvernements romains avaient pris l’habitude de designer
des questeurs qui contrôlaient les comptabilités de toutes les provinces. A cette époque
remonte d’ailleurs l’utilisation du terme « audit » marqué à l’origine d’un sens quelque peu
différent de celui que nous connaissons aujourd’hui. Le terme « audit » provient du verbe
latin audire qui signifie « écouter ». Les questeurs, en effet, rendaient compte verbalement de
leurs missions devant une assemblée composée « des auditeurs ».
Depuis le milieu de XIV siècle, le développement de certaines entreprises et plus tard
l’appel public à l’épargne, les crises traversés par le monde occidental plus ressemant et le
développement des techniques de gestion a provoqué un accroissement qualitatif et quantitatif
de l’information générée par l’entreprise. L’information comptable a gagné en volume, tandis
que, parallèlement, se développaient à une vitesse accélérée des informations dites
« opérationnelles ».
Une première conséquence de cette évolution a été un profond renouvellement de la
méthodologie utilisée en matière d’audit.
Jusqu’au début du XX siècle, on se limitait uniquement à l’examen des comptes pour
se prononcer sur la qualité des états financiers.
C’est ainsi, que l’audit se déroule dans l’entreprise qui est un milieu, comme on le sait,
porteur d’espoirs et de déceptions, de routines confortables et de problèmes ardus, de liens
affectifs et de tensions conflictuelles.
L’auditeurs donc, est toujours un intrus, plus ou moins bien toléré, qui fait irruption
dans l’entité auditée avec la possibilité de violer l’intimité professionnelles d’un groupe déjà
constitué. Ce groupe, malgré ses propres dissensions, n’hésite pas à se rassembler en attitude
Université
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