Alfred Marshall et ses théories
Mémoire : Alfred Marshall et ses théories. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 14 Décembre 2012 • 990 Mots (4 Pages) • 1 996 Vues
« L'Économie politique ou l'Économique est une étude de l'humanité dans l'activité ordinaire de la vie. Elle étudie ce qui, dans l'individu ou l'action sociale, est relié à la recherche et à l'utilisation des moyens matériels nécessités par le bien-être ».
Alfred MARSHALL
Alfred Marshall.
Quelles sont ses théories ?
o L’équilibre partiel.
o Le coût et la valeur.
o Les rendements de production.
o Quelques autres idées qu’il a défendu.
Conclusion.
S’il ne fut pas l’inventeur de l’analyse marginaliste (Dont WALRAS, MENGER, et JEVONS portent la patérnité), il fut celui qui sut s’en sésir pour rédiger une synthèse servant aujourd’hui encore de fondement aux analyses néoclassiques. La courbe d’offre et de demande, c’est lui ; Les économies d’échelles, c’est encore lui ; Les effets externes, c’est toujours lui ; tout comme les effets d’agglomération, d’où naitront les analyses du développement et des districts industriels. Curieusement, alors que l’analyse néoclassique glorifie la concurrence pure et parfaite, il s’échine à montrer « Défaillances du marché » : Les rendements croissants dans l’industrie, aussi bien que les externalités, empêchant le modèle de la concurrence parfaite de fonctionner correctement. Mais ce n’est pas la conclusion qu’il en tire : Pragmatique, Il met en avant que les forces du marché à long terme font rentrer les choses dans l’ordre.
Ses écrits :
• Principes d’économie politique (1890)
• Industry and trade (1920)
Alfred MARSHALL
Si le nom d’Alfred MARSHALL est peu cité, les concepts qu’il a élaboré sont aujourd’hui encore abondamment utilisés, il ets l’un des pères fondateurs de l’école néoclassique, et l’un des économistes les plus influents de son temps. Cet homme députa sa carrière en suivant des études scientifiques en mathématiques et en physiques avant de s’interesser à la philosophie et la théologie. Plutôt radical au début de sa carrière, il se convertit au libéralisme à la suite d’un voyage aux Etats Unis, tout en intégrant une certaine morale dans ses propos : « L’économiste comme tout autre doit se préocuper des fins dernieres de l’homme ».
Après avoir enseigné à Oxford et à Bristol, il poursuivit sa carrière de professeur à Cambridge où il occupa la chaire d’économie politique de 1885 à 1908. Il eut pour élève John Maynard Keynes qui deviendra son principal critique et Arthur Pigou. Il meur à Cambridge le 17 Juillet 1924.
Les théories d’Alfred MARSHALL
1. L’équilibre partiel
MARSHALL introduit dans ses principes d’économie politique les courbes d’offre et de demande qui constituent aujourd’hui la représentation la plus populaire du marché.
Contrairement à l’approche de Léon WALRAS, qui dans la théorie de l’aquilibre général s’intéresse simultanément à l’ensemble des marchés, MARSHALL raisonne toutes choses égales par ailleurs. Il ne s’intéresse pas aux interactions avec les autres marchés. Le prix est déterminé par les seules variations de l’offre et de la demande du bien considéré. Cette approche, en dépit de sa simplicité est aujourd’hui encore largement utilisée pour représenter les marchés.
L’habileté
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