Octave Mouret
Lettre type : Octave Mouret. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 22 Janvier 2014 • Lettre type • 712 Mots (3 Pages) • 675 Vues
Octave Mouret: C'est le directeur du magasin «Au Bonheur des Dames», c'est un homme d'action qui est légèrement fantaisiste. Il règne sur son personnel et ses clientes mais ne peut pas résister à la douceur de Denise. Il possède une véritable collection de prétendantes à ses piedsMais psychologiquement, il change. Jusquau moment où il comprend quil aime véritablement Denise, cest un homme qui aime séduire les femmes, qui ne sy attache pas. Il aime leur plaire pour mi eux les vaincre. mais fait tout ce qui est en sont pouvoir pour réussir à faire tomber Denise sous son charme.Tout avait disparu, les victoires bruyantes dhier, la fortune colossale de demain. Dun regard désespéré, il suivait Denise, et quand elle eut passé la porte, il ny eut plus rien, la maison devint noire. chapitre 12 : – Mon Dieu ! je vous a ime, je vous aime… Pourq uoi prenez -vous plaisir à me martyriser ainsi ? Vous voyez bien que plus rien nexiste, que les gens dont je vous parle ne me touchent que par vous, que cest vous seule maintenant qui importez dans le monde… Zola se sert des innombrables métaphores qui caractérisent le magasin pour faire du personnages de Mouret plus qu'un simple commerçant. L'auteur fait de Mouret un homme courageux et victorieux grâce au champ lexical de la luxure et de la religionLa métaphore religieuse : déesses s eraient chapelle élevée au culte des grâces de la femme : sacralisation d u lieu dont les les clientes cathédrale du commerce moderne (chapitre 9) du chiffon eût là Il semblait que le dieu du magasin, richesse du décor, rituel des grandes ventes : taille son tabernacle blanc. (chapitre 14) un porche comme Cette porte, haute et profonde : triomphe du capital ( nouv elle religion ?) et force déglise, surmontée dun groupe, lIndustrie et le Commerce se donnant la main (chapitre 8) ; lIndustrie et le Commerce : ce sont deux statues allégoriq ues : (chapitre 14) le temple élevé à la fo lie dépensière de la mode toujours la même sacralisation du lieu ; à noter le dieu est tout ce quil y a de plus profane de même que lodeur de la femme, lodeur de son linge et de sa nuque, de ses jupes et de sa chevelure, une odeu r pénétrante, envahissante, qui semblait être lencens de ce temple élevé au culte de son corps . (chapitre 9) métaphore poursuivie dans le même chapitre et annonciatrice de la fin du roman Et la merveille, : lautel de cett e religion du blanc , était, a u-dessus du comptoir des soieries, dans le grand hall, une tente faite de rideaux blancs, qui descendaient du vitrage. Les mousselines, les gazes, les guipures dart, coulaient à flots légers, pendant que des tulles brodés, trè s riches, et des pièces de so ie orientale, lamées dargent, servaient de fond à cette décoration géante, qui tenait du tabernacle et de lalcôve. On aurait dit un grand lit blanc, dont lénormité virginale attendait, comme dans les légendes, la princesse blanche, celle qui devait veni r un jour, toute -puissante, avec le voile blanc des épousées. Denise, déesse de ce lieu La métaphore de la machine : une machine fonctionnant à haute pression, et dont le branle aurait gagné jusqu étalages
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