Le tissu productif français

Étude de documents : le tissu industriel français. 

Question 1 :

Le document 1 est un tableau comparatif des caractéristiques des entreprises en France et le document 2 représente ces caractéristiques sous forme d’un graphique. La classification et la définition des entreprises a été clairement définie en 2008. Cette définition permet de mieux décrire le tissu productif. Les entreprises sont réparties dans des catégories en fonction de leurs chiffres d’affaires et de leurs effectifs salariés. Les quatre catégories sont : les grandes entreprises, les entreprises de taille intermédiaire, les petites et moyennes entreprises et les microentreprises. En France, presque 99% des entreprises sont des petites et moyennes entreprises ou des microentreprises ; ce qui représente 3,7 millions sur 3,8 millions d’entreprises. Les grandes entreprises ne sont pas très nombreuses mais elles emploient un tiers des effectifs salariés. En ce qui concerne la valeur ajoutée, 30% est créée par les grandes entreprises contre 20% par les microentreprises. Les grandes entreprises réalisent 50% du chiffre d’affaires à l’export et les microentreprises réalisent uniquement 5% de ce chiffre d’affaires.

Question 2 :

En France, les entreprises sont catégorisées en fonction de leurs chiffres d’affaires et de leurs effectifs. En Allemagne, cette classification se base sur la culture et l’organisation. De plus, en Allemagne les ETI et les PME sont plus ouvertes à l’export qu’en France ; en effet, en Allemagne 400 000 entreprises se sont lancées contre seulement 125 000 en France. Les entreprises allemandes sont donc plus ouvertes à l’exportation.

Question 3 :

Le gouvernement adopte une stratégie pour relancer les exportations, c’est ce qu’explique le document 4.

Le PIB est un indicateur phare de l’activité d’un pays. Il se calcule grâce à la somme de la consommation finale, de la FBCF, des variations de stocks et de la différence entre exportation et importation.

Les faiblesses des PME à l’exportation en France a un impact sur le PIB. En effet, le déficit commercial augmente car les exportations diminuent.

Face à ce phénomène, l’État français met en œuvres des mesures pour remédier à cette faiblesse. Afin d’éviter les problèmes liés aux soucis budgétaires en vue de gros investissements, l’État amplifie et simplifie l’assurance protection de la banque publique d’investissement. Ensuite, chaque région administrative bénéficiera d’un guichet export destiné à simplifier les démarches. Un nouveau dispositif de financement apparaitra pour fournir aux exportateurs des partenariats, des offres d’accompagnement et des solutions de financements. Un parcours de formation à l’export sera mis en place pour les PME, les MIC et les ETI.

Question 4.1 :         

Une ESS est une économie sociale et solidaire qui repose sur trois piliers : un but autre que le partage des bénéfices, une gouvernance démocratique et un principe d’utilité publique ou de solidarité. L’ESS regroupe les associations, les fondations, les coopératives, les mutuelles et certaines sociétés commerciales. Le document 5 reprend les caractéristiques de cette économie sociale et solidaire.

Une externalité positive désigne le fait pour un agent économique de profiter d’un avantage créé par un autre agent économique sans en payer le prix.

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