Gestion du risque
Mémoires Gratuits : Gestion du risque. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar sousou123 • 9 Mars 2014 • 3 509 Mots (15 Pages) • 729 Vues
gestion du risque
Services financiers bancaires pour les Particuliers, les Professionnels et les Entreprises.
Créée en 1964, l'UIB a été privatisée en novembre 2002 avec le rachat de la majorité de son capital par le Groupe Société Générale. Son objectif est d'appliquer le modèle de rentabilité Société Générale en améliorant durablement les outils, les méthodes de travail et la qualité de service.
Son modèle est celui d'une banque universelle, dont la vocation est d'offrir une gamme complète de services à tout type de clientèle : Particuliers, Professionnels, PME, Grandes Entreprises nationales et mondiales, Institutionnels. La nouvelle force de l'UIB est de faire partie d'un réseau de 31 banques exerçant le même métier : l'UIB bénéficie dorénavant des synergies avec l'ensemble des banques du Groupe Société Générale.
Le réseau de l'UIB compte 104 points de vente répartis dans toute la Tunisie, assurant une bonne couverture des zones urbanisées :
- 97 agences
- 5 box de change
- 2 agences Grandes Entreprises
Très présente historiquement sur le marché des Grandes Entreprises, le réseau de l'UIB lui permet de se développer activement en parallèle sur de nouveaux marchés, notamment les Particuliers, Professionnels et les PME.
Banque de référence en Tunisie sur les opérations de financement internationales, l'UIB continue de renforcer ses compétences en bénéficiant du support du Groupe Société Générale présent dans la plupart des pays du monde.
En décembre 2004, l'UIB a procédé à l'augmentation en numéraire de son capital, pour le porter de 70 000 000 DT à 106 000 000 DT. Cette opération permet à l'UIB de se mettre en conformité avec les ratios prudentiels du secteur bancaire et d'assurer le succès des développements mis en œuvre depuis sa privatisation en novembre 2002.
La communication financière de l’UIB, tenue en date du 04 novembre 2008 à l’AIB et présidée par son Directeur Général, Mr Kamel Neji, a porté sur la crise et son impact sur l’UIB, les faits marquants et la présentation des réalisations de la Banque au 30/09/08 ainsi que les perspectives 2008-2012.
Débutant par l’actualité du moment, Mr Kamel Neji a exposé les raisons pour lesquelles l’UIB se trouve à l’abri de la crise mondiale. La banque est ainsi protégée de la crise, d'une part, grâce aux choix politiques du pays (inexistence de l’activité de produits dérivés et de titrisation des créances à risques), la politique prudentielle en terme d'octroi de crédits immobiliers et la stricte application de la règlementation en vigueur. D'autre part, grâce aux modes opératoires visant la sécurisation des échanges avec les correspondants, le renforcement de la fonction contrôle et l’implémentation d’un système de veille au sein de la banque. Le management a conclu qu’il n’existe pas de signes annonciateurs de retombées négatives sur l’UIB et qu’elle évolue dans un environnement local sécurisé.
Mr Neji a souligné que le plan de restructuration financière a abouti et que la banque est assainie : les fonds propres sont de 71 MD, le ratio de solvabilité est de 10% et le ratio de liquidité est restauré reflétant une assise financière plus solide. Les stratégies suivies s’articulent autour d’un modèle de banque universelle orientées vers la densification du réseau local (10 nouvelles agences en 2008 et un parc de 110 agences à la fin 2009), la refonte de l’organisation en quatre pôles métiers (commercial, risque, service clients et pôle secrétariat général), une offre plus étoffée de produits et services et une clientèle plus diversifiée. A ce titre, le management a signalé que la banque continuera à accompagner les grand projet avec le concours du groupe Société Générale (Projet d'acquisition de 10 rames par la SNCFT pour 35,7 millions d'euros), en plus de son rôle de soutien dans le projet de l'aéroport d'Enfidha.
Concernant les réalisations au 30-09-2008, l’UIB présente un total bilan en hausse de 18,3% à 2 MD, le PNB est en progression de 14% à 61,966 MD et un résultat net de 3 MD. Au niveau de l’activité, l’UIB se classe 8ème en dépôts et en crédits à la clientèle qui ont enregistré des croissances respectives de 10,48 % et 22,11 %. Au niveau des ratios de gestion, le coefficient d’exploitation est passé de 75,6% en septembre 2007 à 72,9 % au terme des neuf premiers mois de 2008.
Au sujet des perspectives, les objectifs tracés en 2008 seront, selon le management, largement atteints. Le business plan 2008-2012 prévoit un PNB de 81 MD, un résultat net déficitaire de 2,8 MD et un ratio de couverture des créances classées de 53% pour la fin de 2008. La banque va renouer avec les bénéfices à partir de 2009 avec un résultat de 9,5 MD et de 45,5 MD en 2012.
s transferts étaient des opérations d'envoi et de réception des fonds des pays de la CEMAC vers les pays hors zone CEMAC et vice versa. Ils s'effectuaient par le canal de SWIFT qui est une passerelle de communication entre la BEAC et la BDF. Il faut noter que tous les transferts s'effectuent via la banque de France qui est le seul correspondant de la BEAC à l'étranger et qui est rémunérée lors de chaque transfert émis par des commissions.
Les transferts se subdivisent en deux grands groupes qui feront l'objet de notre étude dans cette partie du rapport : Les transferts émis et les Transferts reçus.
II.1 LE TRAITEMENT DES TRANSFERTS EMIS HORS ZONE
Les transferts émis hors zone CEMAC sont des envois des fonds de la zone CEMAC vers l'extérieur de la zone. Ainsi nous recevions plusieurs ordres de transferts ; les ordres de transfert du trésor public étaient exécutés immédiatement par la BEAC alors que nous procédions à une étude préalable quand il s'agissait des demandes de refinancement des banques en devises et des autres transferts.
A la réception d'une demande de refinancement en devises (3 exemplaires), une étude s'imposait. Elle consistait pour nous à vérifier et à nous assurer que la demande était « causé » c'est-à-dire qu'elle était justifiée par une transaction économique qui avait eu lieu entre le Cameroun et l'étranger. En effet la demande de transfert devait être conforme à la règlementation de change
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